« Entendez-vous dans vos campagnes mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras égorger vos fils, vos compagnes ! »
Dans l’actualité, avec le retour des djihadistes français autorisés par le gouvernement français, l’ennemi intérieur est à nos portes !
Qu’attend t’on de leur retour ?
Une rééducation, une réinsertion ou une contagion de ce mouvement mortifère ?
Voici l’ennemi intérieur : 130 djihadistes menaçant de rentrer sur nos terres et semer la terreur en France.
La prochaine fois combien de morts compterons nous au Bataclan ?
Rappelez-vous, c’était hier. Nicole Belloubet, ministre de la Justice, avait révélé en novembre 2017 que sur les 244 djihadistes rapatriés en France seulement 175 étaient suivis par la Justice française en liberté surveillé tandis que 69 restaient libres !
Libres de tout acte, de tout méfait à tonalité terroriste ! Libres d’endoctriner et libres de fanfaronner ! Puisque finalement l’état français leur donne tout…
Que peut-on penser de la justice française ?
Ce n’est pas la loi du talion pour autant.
Pas de revanche, pas de rancoeur dans nos coeurs, mais juste un danger qui se profile devant nous. Il nous devance à grand pas.
Selon le ministre de l’intérieur Christophe Castaner, « ce sont des Français avant d’être des djihadistes », ose-t-il déclarer sur BFMTV. Cela dépasse le ridicule.
Parmi les aveugles les borgnes sont rois !
Redressement national vous y croyez vous ?
Nous pas.
Quel contraste avec le sort réservé aux gilets jaunes comme aux zaddistes de Notre Dame des Landes !
On applique des lois antiterroristes a des gilets jaunes dont la lutte est légitime et porteuse de démocratie. Le Vigipirate à son niveau maximal « écarlate » contre toutes formes d’insurrection (dont les Gilets jaunes) pour se prémunir de toute révolte légitime qui n’ont rien avoir avec le terrorisme ! On sème la peur et la terreur pour mieux se soumettre et pour mieux s’agenouiller devant cette frayeur devenue commune à chaque citoyen.
Un insurgé n’est pas un terroriste, un penseur n’est pas un terroriste, un subversif n’est pas un terroriste et pendant ce temps-là le gouvernement acceuille la terreur à bras ouverts.
Rappelons que ces djihadistes n’oeuvrent que pour une seule chose la contagion de la charia mortifère, qui légitime toute lapidation et décapitation devant l’arbitraire d’une loi obscure.
Comme l’assurent les plus hautes autorités de l’Etat, ces jihadistes de retour seront emprisonnés, mais comme chacun le sait c’est en prison qu’on devient délinquant, donc nos prisons vont être infestés d’un mouvement de doctrine, nocive, à des fins d’endoctrinement religieux.
Ajoutez la télé en prison ils auront la pravda…
Et tous ces djihadistes de retour vivent grassement sur les deniers de la République (c’est à dire les contribuables, vous et moi !). Pensez aux deux sœurs de Roubaix qui profitterent de l’assistanat républicain pour entretenir 23 djihadistes de leur famille en Syrie (signalé uniquement par la Voix du Nord et Damoclès), où encore Salim Benghalem, le cerveau des attentats de janvier 2015 contre Charlie Hebdo et Hyper Cacher, qui avait continuer de toucher, plusieurs mois après son départ en Syrie, les allocations familiales à montant de 12 000 euros, etc.
On vous en parle, ils sont partout !
Rappelez vous qu’il n’y a pas d’islam modéré, il n’y a qu’une pratique modérée de l’islam.
Un islamiste c’est celui qui veut l’application de la charia par leur force de conviction (‘influence culturelle’) et de contagion (‘démographique’) alors qu’un djihadiste c’est celui qui veut l’application de la charia uniquement par la violence et la terreur. Il s’agit de deux stratégies différentes mais conjuguant un même objectif, la charia islamique sur nos terres.
Et le gouvernement est complice de cette forfaiture !
Cordialement,
