« Au Vatican il y a des membres des sectes sataniques. Il y a des prêtres, des prélats et même des cardinaux »
(Don Amorth, exorciste de Rome)
Georg Ratzinger, frère ainé du panzer cardinal devenu par inadvertance Benoît XVI le 19 avril 2005, commettait crimes et délits en sa terre de Bavière.
Le saviez-vous ?
Violences physiques, sévices sadiques sur de jeunes enfants, accompagnées d’agressions sexuelles.
En 2010, des allégations d’agressions et d’abus sexuels pratiqués ces dernières décennies furent dévoilés aux yeux de tous.
Le célèbre chœur catholique de Ratisbonne qu’il dirigea durant 30 ans (de 1964 à 1994) en témoigne et signe des abus sur 567 enfants, victimes expiatoires de l’Eglise catholique (agressés physiquement ou sexuellement entre 1945 et 1992, 500 cas de violence physique et 67 de violence sexuelle dont des viols commis par 49 personnes au total).
L’avocat Ulrich Weber chargé d’enquêter sur les méfaits connus de ce qu’il s’est passé déclara avoir vérifié la plausibilité de 591 cas de victimes potentielles.
Le rapport est ci-dessous.
« Une prison, un enfer et un camp de concentration »
(témoignages d’enfants du célèbre cœur)
« Le pire moment de leur vie, marqué par la peur, la violence et la détresse »
(Ulrich Weber)
Un des anciens membres de la chorale, le chef d’orchestre et compositeur allemand Franz Wittenbrink, témoigna au magazine allemand Der Spiegel de la violence dont était capable Georg Ratzinger, évoquant plus largement un caractère violent, impulsif, dangereux et un « système de punitions sadiques relié au plaisir sexuel ».
« Durant les tournées nous étions des étoiles mais, lorsque nous retournions à l’internat, nous pénétrions dans un monde sinistre digne du Moyen Âge »
(Franz Wittenbrink)
Le Regensburger Domspatzen (‘les moineaux de la cathédrale de Ratisbonne’) est pourtant un chœur réputé datant d’un millénaire (fondée au Moyen Age en 975).
Mais quelle surprise ?
Mais qu’a donc fait le cadet devenu pape ?
Comme tous les prélats il a fait oeuvre de cécité mentale.
Un secret de famille éventé ?
Le rapport de l’enquête en allemand :
Vorfälle von Gewaltausübung an Schutzbefohlenen bei den Regensburger Domspatzen
(‘Incident de pratiques de violences contre la protection de l’enfance au cœur du Regensburger Domspatzen’, 18 Juillet 2017, par Ulrich Weber et Johannes Baumeister)
http://uw-recht.org/fileadmin/user_upload/Abschlussbericht_Domspatzen.pdf
D’autres liens sur l’affaire en français :
http://m.spiegel.de/international/germany/scandal-widens-pope-remains-silent-as-abuse-allegations-hit-close-to-home-a-683582.html
https://www.cbc.ca/news/world/germany-domspatzen-choir-sexual-abuse-1.4210026
https://www.lemonde.fr/europe/article/2017/07/18/allemagne-547-enfants-victimes-d-abus-dans-le-ch-ur-catholique-de-ratisbonne_5161967_3214.html
En allemand :
https://www.morgenpost.de/vermischtes/article206914449/Ratzinger-Bericht-ueber-Missbrauch-bei-Domspatzen-Irrsinn.html
A son tour, Joseph Alois Ratzinger, un soldat de l’ombre de Jean Paul II dont la vocation était de masquer les crimes de l’Inquisition initiés par les Dominicains (‘Chiens de Dieu’) puis par les Franciscains, bien que n’ayant commis aucun meurtre, a couvert les crimes et délits de son frère et de tant d’autres ! Son silence est coupable.
Comment s’étonner que ce carriériste forcené de l’Eglise pu un jour parvenir aux fonctions suprêmes ?
Il a servi le Vatican, le Vatican l’a bien servi.
Les preuves de crimes ne manquent pas.
L’Islam porte le voile, l’Eglise voile ses secrets, secrets d’État en l’occurrence.
Le cadet porte les fautes de son frère criminel.
Suite à sa démission fracassante le 11 février 2013, Joseph Ratzinger, depuis réfugié dans un cloître du Vatican verrouille les secrets révoltants de la papauté, pourtant bel et bien coupable de fermer les yeux sur pareils crimes.
Le divin enfant est mort dans les bras de la papauté…
Au sein du Vatican, cherchez les saints
Le Père Gabriele Amorth , exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques au cœur du clergé, à Rome.
Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire :
– Satanistes au Vatican ?
« Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sataniques ».
– Et qui en fait partie ? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs?
« Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardinaux ».
Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le savez-vous ?
« Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter
parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose “confessée” plusieurs fois par le Démon lui même sous obéissance pendant les exorcismes ».
– Le Pape en est-il informé ?
« Bien sûr qu’il en a été informé ! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas d’exorcistes, et pourtant le Pape y croit : j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lorsqu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctri-
ne de la Foi. Bien sûr qu’il y croit !…»
– Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI : que la “fumée de Satan” est entrée dans l’Église ?
« C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques.
Cette particularité de la “fumée de Satan”, Paul VI en référa le
29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps, mais cela n’a pas eu de conséquences pratiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques ».
Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au cœur du Vatican, il y a des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui sont membres de sectes sataniques, “mais il fait ce qu’il peut” !
Paul VI lui aussi savait que la “fumée de Satan” était entrée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican.
Et même “s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps”, cela “n’a cependant pas eu d’effets pratiques”.
On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex- Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russel : «… avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici…», et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux Papes ne pourraient que se résigner à “parler sans avoir d’effets pratiques” et à “faire ce qu’on peut”, car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur volonté de ne plus gouverner l’Église !
Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège ? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un ?
Une réponse précise nous la trouvons dans les paroles du Délégué International Prussien, lorsque, à la fin de la Messe noire célébrée dans la Chapelle Paulinienne, il lut la Loi d’Autorisation: «… Quiconque, à travers cette Chapelle Interne, sera désigné choisi come successeur final de l’Office Papal, devra jurer lui-même et tous ceux qu’il commandera, d’être l’instrument plein de bonne volonté et collaborateur des Fondateurs de la “Maison de l’Homme sur la Terre” et sur tout le Cosmos de l’Homme…»
Peu avant, il avait dit que cette Chapelle avait été « prise, possédée et appropriée par Lui, Celui que nous avons établi Seigneur et Commandant de notre destin humain (Lucifer) ».
Orbi et urbi l’église catholique est partout concerné. A quand le nettoyage à sec !
Cordialement,
