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Soros maître-chanteur

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Soros

« Dès l’enfance, j’ai eu des fantasmes messianiques assez puissants… Avec l’âge, j’ai voulu leur laisser libre cours autant que je pouvais me le permettre. » (George Soros, Underwriting Democracy, New York, Free Press, 1991)

« C’est une sorte de maladie quand vous vous considérez comme une espèce de dieu, le créateur de toutes choses, mais je me sens à l’aise depuis que j’ai commencé à le vivre » (Georges Soros, The Independent, 3 juin 1993)

Georges Soros, d’origine hongroise, philanthrope, préside, tel un dieu, aux destinées d’un réseau tentaculaire, présent à travers une flopée d’ONG, implantées dans une centaine de pays.

Narcissique mégalomane, le monde : son grand échiquier.
Surfant sur la vague des marchés financiers et misant sur l’instabilité monétaire, Soros à fait fortune grâce à la spéculation, les hedge funds, d’une main de maître.

Derrière ce philanthrope protéiforme se cache, tel un arbre cachant une forêt, un plan bien précis, un agenda bien détaillé, orchestré depuis des décennies par les élites Illuminati de ce monde.

Les projets qu’il lance et qu’il soutient financièrement dans l’ombre constituent une « révolution cosmopolite silencieuse ».
Il croit en cette révolution permanente qu’il appelle de tout cœur et qu’il contribue à réaliser.

Georges Soros évolue au cœur d’une caste financière, puissant parmi les puissants, qui transforme le monde en spectacle de pantins impotents, tant au niveau du peuple, de l’individu que de sa destinée.

Derrière la marche en avant de l’histoire, leur philosophie se réduit à de piètres concepts individualistes : deviens ce que tu es, deviens ce que tu as envie d’être, dispose de tout, y compris du corps, de la nature, de la vie, de la mort, des prérogatives de l’homme tout puissant, aboli les limites, toute frontières, transcende les hiérarchies et toute forme de différence. L’homme doit dans cette perspective se faire dieu sur terre.

Pour ces positivistes illuminés, la morale est limpide : ce qui est techniquement possible est moralement souhaitable.
Autrement dit, l’individu doit se libérer de ses traditions et racines et s’intégrer dans une société nombriliste enclin à la déconstruction en marche, en s’alienant dans des fausses idoles : la consommation et la consumation de l’être humain.

Dans la lignée, il commande la déconstruction de la souveraineté comme on tue nos traditions ancestrales.
Il s’agit pour reprendre les termes de Philippe de Villiers « d’un meurtre collectif symbolique qui s’inscrit dans la longue série de la chute des pères, des prêtres et des rois » (J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu, Éditions Fayard, 2019).

Pour Soros, apôtre de la globalisation, l’intégration européenne ne vise pas à faire l’Europe mais à la détricoter point par point : culturellement (la politique culturelle n’existe plus), politiquement (la crise des migrants a engendré la montée des populismes), économiquement (la monnaie unique est décriée de toute part), religieusement (les différents attentats ont fragilisé l’union sacrée laïque).
On ne compte plus les fractures de l’Europe !

Son immense fortune pervertit la stabilité mondiale, en soutenant les mouvements politiques et socialistes qui fragilisent l’ordre mondial : telle une main invisible Soros est derrière le supranationalisme, la révolution orange Ukrainienne, et récemment en Crimée (épicentre d’une nouvelle guerre froide avec la Russie), le laxisme vis à vis de la consommation de drogues (comme le montre sa volonté de légaliser le cannabis), mais aussi favorise une crise morale morcelant la société (l’homosexualisme, le transsexualisme, le gendérisme, l’euthanasie, l’immigration), et  la division liée à la montée de l’islam.

Sur tous les fronts, se dessine la trace sorosienne, invisible mais bien présente (et donc d’autant plus puissante).

A travers ces crises protéiformes, on peut déduire l’agenda des Illuminati pour le 21ème siècle.

Présenté comme un philanthrope milliardaire, aujourd’hui très âgé, il se comporte comme un prédicateur de la post-modernité consumériste et anomique. Certains hommes politiques diront de lui qu’il est « l’Inspirateur », « le Prophète », il paie l’orchestre, il est en droit de choisir la musique.

Il a réussit a mettre en place toute une nébuleuse d’intérêts qui pèse son poids sur la pensée occidentale et à dicter l’ordre du jour politique en Europe. Son réseau d’influence imprègne les gouvernements, et ses manoeuvres résonnent tel un glas sur tous les pays européens en collaboration avec toutes les fondations du même acabit.

Je n’invente rien.

La Fondation Open Society (‘corps mystique de la société ouverte’), chapeaute le tentaculaire réseau d’organisations qu’elle finance.

Il la médite depuis qu’il était jeune étudiant à la London School of Economics en 1947.

Ce corps mystique, est la clef de voute de son action militante : via le remplacent des peuples, le projet consiste à dissoudre les États dans un ensemble mondialiste. Il s’agit d’une stratégie sociotechnique (ingénierie sociale) misant sur le long terme, préconisant de conduire des changements sociaux, progressivement et par degrés, sans alerter la population, mais avec continuité (philosophie initiée par Karl Popper).

C’est aussi le principe de ’graduation’ repris de la Fabian Society permettant de transformer progressivement la société contre son gré et qu’applique l’Union européenne pour déconstruire les nations, « raison pour laquelle ce projet me tient à cœur » dira Soros (Soros et la société ouverte, de Pierre-Antoine Plaquevent, Le Retour aux sources, 2018)

Cette Europe-là, post-européenne, est une vision de Soros, dans la filiation de Monnet et de Schuman (‘pères fondateurs’).
Le génome est le similaire : instaurer un ordre économique instable, libéral et libertaire, fusionnant le privé au public, en détruisant cultures, racines et traditions populaires. Ce goût pour un monde monolithique, lisse, sans reliefs, favorisant les opportunismes et les opérations de pouvoir, est le reflet d’une pensée vide.

Le résultat mené par ces politiques est désastreux : les nations se sont affaiblies industriellement, les sociétés se sont désagregées, et de l’intérieur elles sont minées par la radicalisation des jeunes et la montée du djihadisme. L’individualisme, le nombrilisme, l’affaissement de la culture et de l’éducation, etc. accentuent chaque jour, un peu plus, l’effonfrement des nations. Toutes ces politiques ont nourri la montée des populismes et un sentiment xénophobe.

Au nom de sa pensée délétère, les idéaux libéraux de libre-échange, de libre circulation des hommes, et des capitaux, Soros assassine l’Europe.

Les chiffres : il y a actuellement 500 millions d’habitants dans l’Union européenne et 1,5 milliards d’habitants en Afrique, dont 40% ont moins de 15 ans, et 60% ont moins de 25 ans.
Projetez-vous dans 30 ans : la tendance démographique donne 450 millions d’Européens pour 2,5 milliards d’Africains.
Vous visualisez le problème ? Il ne s’agit pas de faire peur, mais de dire la vérité sans l’interpréter. Il s’agit de comprendre au mieux la politique migratoire, de saisir un fait démographique : la jeune Afrique va chercher de meilleurs chances de vie sur le Vieux Continent. C’est un enjeu essentiel de l’équilibre du monde et de la cohésion de l’Europe et des États.

Soros le sait, il en joue.

Après avoir fait sauter les banques, après avoir planifié le faux-printemps arabe qui a conduit à la crise des migrants en Europe, il dynamite les frontières de l’Occident,  frontières physique et anthropologique.

C’est pour cette raison, que Soros finance les diverses associations de réfugiés déclenchant une immigration de masse.

En 2015, lors de la crise des migrants, il publiera la tribune intitulée Reconstruire le système d’asile, il y expliquera que « le plan européen doit être accompagné d’un plan mondial sous l’autorité des Nations unies ».
Ses consignes seront suivies à la lettre : en juin 2018, la Commission européenne proposa la création d’un nouveau fond « Asile et immigration », qui s’ajouta aux autres fonds déjà affectés, tandis que l’ONU proposa le 10 décembre 2018 à Marrakech un Pacte mondial pour des immigrations sûres, ordonnées et régulières.

Ainsi le plan européen fût accompagné, exactement selon la volonté de Soros d’un plan mondial sous l’autorité de l’ONU.

En même temps, Soros veille à censurer la mediacratie sur la question migratoire : « Les États signataires s’emploient à lutter contre les récits trompeurs qui génèrent une perception négative des migrants, et à priver de subventions ou d’aides matérielles tous les médias qui promeuvent des formes de discrimination à l’égard des migrants ».

Le maître chanteur à parlé !

Mais encore, en comparant le texte avec ce que l’Union européenne et les Nations unies finirent par voter durant l’année 2018, on ressent l’influence de Soros.
« Les réfugiés et les migrants ont les mêmes droits de l’homme et libertés fondamentales universelles ».
Cet extrait du texte de l’ONU en est même un fidèle copier-coller.

Mieux encore ! Le Pacte mondial sur la migration, lui-même modèle de soft law,
à pour ambition d’effacer toute distinction entre migrant et réfugié, là encore, il s’agit des voeux de Soros. Selon ce dernier, l’immigration est une chance qu’il faut encourager et légaliser, l’ONU évoquera les « bénéfices globaux de la migration », une « migration sûre, ordonnée et régulière ».

Rendez-vous compte, les documents de la Commission européenne sont dans la droite ligne de la pensée sorosienne !
Il est question de « remplacer les arrivées irrégulières et dangereuses par des voies sûres et légales », autrement dit de rendre légal ce qui est illégitime !

Comment être certain que l’immigration garantisse dans le long terme la « compétitivité » et son « modèle social » comme le préconise la Commission ?

Bénéfice pour l’Europe ? Quel est le coût social de l’immigration ?

Un État-providence peut-il survivre à une immigration de quantité ?

Et que se passe-t-il si un État ne se plie pas à la politique migratoire ?

La Commission, et par là Soros, propose tout simplement de l’asphyxier financièrement.

On ne s’étonnera donc plus que Jean-Claude Juncker, président (alcoolique) de la Commission, insistera lors de son discours sur « l’état de l’Union » en 2018 sur le « besoin » et le « bénéfice » qu’apporterait l’arrivée des migrants en Europe.

Voilà, vous comprenez comment avance masqué Soros, le plus légalement, à sa propre gouverne du monde.

Sur le site de l’Open Society on peut y lire que « L’Institut politique européen de l’Open Society œuvre à influencer la prise de décision sur les lois, la politique le budget de l’Union européenne afin de s’assurer que les valeurs de la société ouverte soient au cœur de ce que fait l’Union, à l’intérieur de ses frontières comme à l’extérieur ».

Voilà tout est dit !
A l’intérieur, comme à l’extérieur, on devine la présence feutrée mais bel et bien là, celle de Soros.

Toutes les organisations (représentant des lobbies) oublient de signaler leur poids sur la politique européenne.

C’est clair non ?

Et encore, toutes ces operations d’influence secrètes ne sont que la face immergée de l’iceberg.
Car il ne s’agit pas seulement d’irriguer la politique étrangère de l’Union des idées sorosiennes sur les échanges mercantiles mondiaux, mais d’appliquer un calendrier d’action maléfique.

De même que derrière la Construction européenne, et Jean Monnet, se tenait le CFR (‘Council of Foreign Relations’) et la Table Ronde de Cecil Rhodes, de même Soros entretient des liens étroits avec l’ECFR (‘European Council of Foreign Relations’) qu’il finance. Ce think tank atlantiste milite pour le supranationalisme intégral, comme le montre sa campagne en 2017 en faveur de la « souveraineté européenne » (ecfr.eu).

Sauf qu’il y a une idée européenne, des êtres qui se sentent européens sans pour autant se sentir européistes et surtout il n’existe pas de peuple européen !

Cette sémantique nouvelle (« souveraineté européenne ») n’est rien d’autre que de la poudre aux yeux. Rien d’autre que le tartuffe d’une gouvernance sans peuple et d’une technocratie de marché au service d’intérêts mondialisés.

Voilà l’objectif : l’abandon de la souveraineté nationale pour instaurer non pas pour une souveraineté européenne (ou même mondiale) mais une suzeraineté transnationale. Lire a ce sujet l’excellente analyse d’Alain Supiot.

Soros n’est que le seigneur, l’Union européenne n’est que le vassal !

Soros, maître chanteur, veut une Europe sans peuple.

Soros, maître chanteur, veut une Europe sans règles.

Soros, maître chanteur, veut une Europe sans frontières.

Soros, maître chanteur, veut une Europe sans citoyens.

Une Europe constitué d’individus atomes et abstraits.

En évoquant l’idée de « souveraineté européenne », les caniches inféodés au système s’alignent sur le fantasme sorosien. Ainsi, Juncker reprendra à son compte la formule trompeuse dans son discours sur « l’état de l’Union » (prononcé devant le Parlement européen le 12 septembre 2018), puis Emmanuel Macron, cameloquet de service, répétera la prêche dans son allocution à la Sorbonne.

Voilà comment ça marche : en premier lieu, l’élite décide, en deuxième lieu, les institutions européennes l’applique, en dernier lieu le peuple en est l’objet et non le sujet, et le subit. Les chiens de garde (les médias) sèment la prêche et la diffusent sans réfléchir.

Désormais, il ne s’agit plus d’États maîtres de ces décisions émanant du peuple, mais de capitaux amassés dans quelques mains isolées maîtresses de tout.

Dès lors la puissance publique se dissout dans le privé. N’est plus le garant du bien commun, mais le bien de quelques uns, parfois bien plus riches qu’un Etat.

Voilà pourquoi tant d’allégeances des élus politiques aux bureaucraties supranationales, elles-mêmes aux ordres d’oligarchies d’intérêts privés.

Voilà pourquoi les juges de la Cour européenne des droits de l’homme, eux-mêmes chargés d’appliquer la Loi, nommés par Soros, lui sont redevables car achetés, dévoyés, corrompus par l’argent.

Cordialement,

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