Les programmes spatiaux secrets :
éclairage pour l’Humanité.
- Tous ont droit à la vérité -
« Nous ne sommes pas engagés dans une course aux armements, mais plutôt dans une course pour perfectionner l’intégration de la technologie ovni »
(citation d’Edward Teller, père de la bombe H, lui-même membre haut-gradé de la Cabale)
En février 2019, il vous a été révélé l’existence de deux programmes spatiaux secrets, l’un celui de l’USNSF (‘United States Navy Space Fleet’) c’est à dire le fait que l’US Navy possède un corps de Marines de l’Espace se déplaçant au sein d’une flotte de vaisseaux dont la propulsion est fondée sur les lois de l’antigravité. Et un deuxième programme spatial, le MICSSP (‘Militaro Industrial Complex Secret Space Program’) servant les intérêts du conglomérat international de la Cabale baptisé I.C.C. (‘International Conglomerate Corporate’) par les ufologues ou I.C.C (‘Interplanetary Corporate Conglomerate’) par Corey Goode.
En réalité, son nom exact, révélé ici est le S.I.C (‘Space Industries Corporate’).
http://clearlook.unblog.fr/2019/02/22/m-i-c-s-s-p-vs-u-s-n-s-f/
Je suis loin d’être le seul à vous divulguer ces informations.
Gary McKinnon
En 2002, Gary McKinnon, un jeune citoyen britannique trop curieux, fût accusé par le gouvernement américain de piratage informatique. Ses afficionados lui reconnaissent d’avoir réussi le ‘plus grand piratage informatique militaire de tous les temps’ ou du moins le plus surprenant.
Il a réussi par son hacking à susciter l’intérêt du public quant à la possible existence d’un programme secret spatial.
Ce dernier allonge la longue liste de lanceurs d’alerte (‘whistleblowers’) des milieux militaires, et d‘autres informateurs issus de compagnies privées et autres contractants privés du Ministère de la Défense (comme Edgar Rothschild Fouche) ou anciens employés de la NASA (astronautes comme Edgar Mitchell ou opérateurs de lancements de navette comme Clark McClelland) qui ont ouvertement témoigné de l’existence, gardé secrète à l’humanité, de flottes de vaisseaux à propulsion antigravitationnelle, mais aussi de l’existence de combattants spatiaux sur Mars et sur la Lune (à l’image des révélations faites par Andrew Basiago en 2002 et Randy Cramer en 2014).
Andrew Basiago et les chronoviseurs
http://clearlook.unblog.fr/2019/04/26/les-chronoviseurs/
Randy Cramer et Solar Warden
Prétendument officier du corps spatial des Marines de Solar Warden pendant 20 ans. Il affirma avoir été enlevé jeune en tant qu’adolescent volontaire, pretendant être « génétiquement » optimisé physiquement pour le vol spatial. Son récit mélange habilement des faits tout à faits authentiques (holobeds, Solar Warden) avec des affirmations tout à fait fantaisistes et fausses.
https://www.youtube.com/watch?v=ITRz86P13dI&feature=share
Explication physique de l’antigravite
http://clearlook.unblog.fr/2019/02/20/explication-de-lantigravite/
Le Décalogue des lois de la physique de l’USNSF
http://clearlook.unblog.fr/2019/04/24/la-matiere-est-faite-dondes/
Ben Rich
Pendant des années, ce ne fût que des rumeurs, alimenté par quelques anecdotes comme celle, célèbre, du directeur de la société aérospatiale américaine Lockheed Martin, Benjamin Robert Rich, qui le 23 mars 1993 témoigna devant ses employés de la capacité aérospatiale des Etats-Unis de voyager dans la galaxie.
« A l’intérieur du Skunk Works, nous étions un petit groupe d’ingénieurs fortement soudés, de designers, de machinistes et d’experts. Le point culminant de notre carrière a été la construction d’avions de haute technologie en petit nombre pour des missions top-secret »
« Nous avons déjà les moyens de voyager au-delà des étoiles, mais ces technologies sont enfermés dans des projets ultra secrets, et il faudrait une intervention divine pour les faire sortir au grand jour pour l’humanité. Tout ce que vous pouvez l’imaginer, nous savons déjà comment le faire »
« Nous avons déjà aujourd’hui la technologie pour ramener ET à la maison et non, cela ne prendra pas un voyage d’une vie pour le faire. Il y a une erreur dans les équations. Nous savons laquelle. Nous avons maintenant la capacité de voyager vers les étoiles. D’abord, vous devez comprendre que cela est impossible en utilisant la propulsion chimique. Deuxièmement, nous devons concevoir une nouvelle technologie de propulsion. Ce que nous avons à faire est de comprendre où Einstein s’est trompé »
De ces quelques citations, il apparaît que Benjamin Robert Rich qui fût directeur de Lockheed de 1971 à 1991, et membre haut-degré franc-maçon, travaillant consciemment pour la Cabale, était conscient des erreurs de la physique utilisée par ses ingénieurs.
En particulier, du fait que des corrections aux équations d’Einstein ont étés utilisées en les remplaçant par la théorie unifiée des champs de Heim publiée pour la première fois dans les années 1950 et perfectionné jusqu’à la fin des années 1990. Malheureusement cette théorie, tout comme celle d’Einstein, repose sur le postulat erroné d’un espace-temps vide et de ‘courbures’ de cet espace-temps vide qui n’ont rien à voir avec la réalité physique. L’USNSF quant-à-elle, utilise une physique unifiée juste, qui est celle de Lorentz, Tesla, Lafrenière et bien d’autres physiciens ignorés de la physique actuelle.
Ainsi, avec les lois de la physique qu’elle utilise, les vaisseaux ‘antigravitationnels’ du type Xov (modèle 1 et modèle 2) du MICSSP ne peuvent dépasser 136 000km/h dans le vide et 9300 km/h dans l’atmosphère, et ne peuvent dépasser l’orbite de Saturne, tandis qu’avec les lois de la physique unifiée qu’elle utilise, les vaisseaux de l’USNSF peuvent atteindre par incrément 1 milliard 860 millions de fois la vitesse de la lumière, et voyagent couramment vers les étoiles proches situés dans un rayon de 8 années-lumière.
Les sociétés Lockheed Martin (dont les célèbres ateliers du putois ‘Skunks Works’), Boeing, General Atomics, SAIC, Northrop Grumman, BAE System, Bell Aircraft, IBM et Rank Xerox ont un plein accès à tous les secrets des programmes spatiaux secrets et participent à l’élaboration de technologies pour le compte du programme spatial secret de l’armée américaine. Contrairement à la croyance répandue, les fameux programmes noirs (‘black program’) développés par ces sociétés dans le plus grand secret ne sont en aucun cas destinés aux armées des pays qui les ont financés mais sont réservés à l’usage exclusif du Nouvel Ordre Mondial.
Ces deux dernières années, les sources se sont multipliées, des notes internes ont autorisés quelques déclassifications.
Tandis que le budget de la NASA (‘National Aeronautics and Space Administration’) baisse drastiquement, les entreprises du secteur privé se lancent dans le spatial.
L’esprit commun prend conscience de la situation réelle de la NASA : une mascarade.
En effet, depuis sa création en 1958 sur base de la NACA (‘Advisory Committee for Aeronautics’), la NASA a financé des programmes et des technologies de propulsion à base de fusées, et autres écrans de fumée pour le compte du complexe industrialo-militaire, qui n’ont servi qu’à financer leur propre programme spatial secret par une surfacturation des programmes fusées. Il suffit de savoir que les programmes spatiaux américains et européens coûtent le quart du prix annoncé et que les trois quart des sommes payés par le contribuable pour ses programmes sont détournés par la Cabale pour financer ses propres programmes spatiaux.
A cela ajoutons que le programme spatial secret est essentiellement financé par le trafic de drogue et l’industrie de l’armement. Tout un système de corruption et de détournement de fonds est mis en place pour faire fructifier un capital illicite. La Cabale programme également des guerres dans le but de s’enrichir en créant des marges sur la vente d’armes. Il faut savoir que 80% de cette économie parallèle sert les intérêts de la Cabale tandis que le restant va aux mafias et seigneurs de guerre à leurs ordres. De plus, seulement un tiers du programme spatial Apollo a été utilisée tandis que les deux tiers restants du programme spatial ont servi à financer leurs recherches techniques et leurs vaisseaux secrets. Et à tous ces financements occultes s’ajoutent la surfacturation qui leur rapporte.
A titre d’exemple, citons le développement de l’ISS (‘Station Spatiale Internationale’), qui a permis à la Cabale de mettre au point toutes les technologies nécessaires pour leurs vaisseaux antigravitationnels, pour favoriser le développement de leurs bases sur la Lune et celles minières sur Mars. Mais également, de développer les technologies nécessaires à leurs missions interplanétaires, et d’extraction de minerais et d’or dans la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter ainsi que sur les satellites de Saturne, dont Titan (où ils se ravitaillent en méthane).
Posez-vous la question suivante, pourquoi la Nasa a refusé d’utiliser la gravité artificielle sur l’ISS alors que la NASA sait la maîtriser depuis les premiers tests lors des vols Gemini ?
Tout simplement parce que cela leur a été interdit par la Cabale. Les vaisseaux ‘antigravitationnels’ du MICSSP ne permettaient pas la génération d’une gravité artificielle par rotation du vaisseau. Leurs vaisseaux étant assez lents, les voyages entre la Terre, Mars, et Saturne durent de long mois. Il était donc essentiel dans le cadre de ce programme spatial de faire payer par le contribuable les milliards nécessaires à la mise au point de techniques empêchant la dégénérescence biologique liée à la pesanteur. C’est pourquoi, alors que la NASA utilisera massivement la gravité artificielle pour ses missions vers la Lune et vers Mars (dès 2022), elle a consacrée tous ses moyens financiers de ses 40 dernières années à faire de la recherche sur les effets de la pesanteur dont elle n’a aucun besoin. Si on n’avait pas interdit à la NASA de faire de la gravité artificielle sur l’ISS, le prix de fabrication et d’exploitation de la station aurait baissé de 64%…
Bien qu’étant géré par du personnel civil, il ne faut pas oublier que la NASA est sous contrôle et sous commandement militaire. Face à tous les secrets qui entourent l’agence spatiale, le programme spatial secret de la Cabale a tenu éloigné la citoyenneté mondiale en droit de savoir.
Trois programmes spatiaux secrets (‘SSP’ ou ‘Secret Space Program’)
Grace au dévouement et aux révélations de ces lanceurs d’alerte, aujourd’hui, nous pouvons affirmer qu’il existe trois programmes secrets.
- 1er SSP : Le M.I.C.S.S.P.
Le premier de ces programmes spatiaux est baptisé MICSSP (‘Militaro Industrial Complex Secret Space Program). Le conglomérat qui exploite et possède ce SSP est le S.I.C (‘Space Industries Corporate’). Celui-ci utilise toutes les strates du complexe militaro-industriel mondial qu’ils possèdent et contrôlent pour développer ce programme depuis 1952. Le patron mondial de ce SSP et de l’I.C.C. / S.I.C. est le baron de Rothschild en France, il possède les trois plus gros complexes miniers spatiaux de l’ICC sur la Lune, sur Mars et dans la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter. Ce premier programme est intégralement dirigé par deux des 13 familles Illuminati qui constituent la Cabale (‘État Profond’). Ces deux familles, celle des Rothschild et celle des Rockefeller ont le contrôle absolu du S.I.C.
Ce premier programme ne dispose que d’une batterie de vaisseaux spatiaux à propulsion dite ‘antigravitationnelle’. En réalité, leur générateur d’antigravité ne les propulse pas mais diminue simplement leur masse et leur inertie de 89,6%. Leur propulsion est une propulsion magnétoplasmique par moteur fusée VASIMIR (MFD, ‘Mass Field Disruptor’ ou ‘Rupteur de champ de masse’).
Parmi les 8 vaisseaux qu’ils possèdent, on dénombre 4 ‘cylindres’, 3 ‘triangles’, et 1‘X’. Les dimensions varient en fonction des différents modèles, allant de 90 mètres de côté à plus de 300 mètres de côté.
Les premiers cigares (leur nom vous sera révélé prochainement) datent des années 50 et ont coûté l’équivalent de 900 millions de dollars actuels. De 91 mètres minimum à 140 mètres maximum, ils peuvent se déplacer au maximum à 124000 km/h dans le vide.
Les premiers triangles (abréviation XOV) ont coûté environ 1 milliard pour le premier modèle et environ 4 milliards et 5 milliards pour le deuxième modèle. De 92 mètres et de 184 mètres de côtés, leur vitesse maximale dans le vide est de 116 000 km/h et de 136 000 km/h.
http://clearlook.unblog.fr/2019/02/20/le-xov-black-program-de-lookheed/
Le modèle en ‘X’ ou ‘Xcraft’ (leur nom vous sera révélé prochainement) est un modèle cargo qui a coûté environ 7 milliards pièce. Ses bras font 230 m d’envergure, et sa vitesse maximale dans le vide de 148 000 km/h.
Afin d’empêcher les échanges en interne, mais également que les technologies avancées puissent se retrouver dans le secteur public en vue d’applications commerciales, ce conglomérat fonctionne sur trois niveaux de cercles, hautement compartimentés, du plus secret au plus visible.
Le MAJI
Entre 1947 et 2012, le MAJI (‘Majority Agency for Joint Intelligence’), organisme de la Cabale, a servi à chapoter l’ensemble des opérations secrètes du conglomérat. Son budget dans les années 1950 dépendait de ceux de la CIA puis à partir de 1973 jusqu’en 2012 dépendait de celui de la NSA.
Suite à la découverte des documents nazis durant la seconde guerre mondiale, cette agence de renseignement fût crée par le président américain Truman en 1947. Son autorité est supérieure aux autres agences américaines puisqu’elle n’a de comptes à rendre ni au Congrès ni au Sénat mais seulement au Président des Etats-Unis. Son rôle était de collecter toutes les informations de n’importe qu’elle agence ou de l’armée en ce qui concerne la présence d’aliens-démons sur Terre (qui se font passer pour des extraterrestres). Mais également de dénombrer les enlèvements sur Terre et de coordonner les forces spéciales qui intervenaient dans les opérations de récupération d’ovnis écrasés sur Terre. D’autres instances pratiquaient alors de la rétro-ingénierie sur les appareils récupérés. Certains hommes en noirs relatés dans la littérature ufologique sont en réalité des agents du MAJI. Comme l’agence est constituée de 12 niveaux de secret au-dessus des accréditations Top Secret Cosmique, on a créé des niveaux d’accès supérieurs appelés ‘majestic’ (ou ‘majic’ en abrégé).
A titre d’exemple, si un agent du MAJI désirait se rendre dans une des cinq zones de Papoose Lake, par exemple dans la zone S4 (‘secret zone 4’), afin d’effectuer une mission pour le compte de la Cabale, il lui fallait une accréditation majestic pour être autorisé à y rentrer (afin de le savoir ces zones font partie de la célèbre base 51 sous contrôle de la CIA, tandis que les zones 1 à 5 échappent au contrôle du gouvernement américain). Ce fût le cas de Bob Lazar, qui en tant qu’ingénieur supérieur avait été recruté en 1988 pour un contrat intérimaire. Il avait une carte d’accès ‘majestic’ pour travailler sur les étages Haute tension dans la zone S4.
Le MAJI à chapeauté divers programmes :
Le programme Grudge démarré est le programme de mise au point de l’antigravité par la Cabale. Il a démarré en 1954 et mettait en concurrence toutes les grandes sociétés aérospatiales américaines pour réaliser des tests sur l’antigravité de façon empirique puisqu’ils n’avait aucune théorie correcte pour la décrire. Ce programme a été lancé suite aux observations d’ovnis par l’US Air Force de 1947 à 1954 où ils ont compris qu’il y avait des engins antigravité qui volaient dans l’atmosphère terrestre. Sans pour autant comprendre les principes, ils ont cherché à reproduire ce phénomène. La seule société qui a réussi à obtenir l’antigravité et la société texane Bell Aerospace de Fort Worth qui a réussi le premier effet d’antigravité dans ses laboratoires en 1955. Son moteur le MFG est opérationnel fin 1956.
C’est pourquoi la Cabale a lancé des 1957 la construction de son premier cigare.
D’autres programmes : Magnet (programme de compréhension des mécanismes du champ magnétique terrestre afin de permettre la navigation de bombardiers stratégiques et de sous-marins nucléaires, 1955), Galileo (programme d’étude des systèmes de propulsion antigravitationnels dans la zone S4 ayant abouti à la création du MFG ‘Mass Field Generator’, 1957), Luna (programme de construction des quatre bases de la Cabale sur la Lune ; les premières phases de construction et d’implantation de la première base ont eu lieu à 2400 mètres d’altitude par rapport au niveau de la mer lunaire, 1957), Red Light (programme chargé de tester les vaisseaux récupérés dans la zone S4, 1958 – 1964), Joshua (programme responsable du développement d’armes à basse fréquence, et ancêtre du programme HAARP, 1958), Pegasus (programme sur la téléportation, 1958 – 1982), Lookinglass (programme de chronovision à travers le temps, 1959 – 1966), Aquarius (programme de surveillance des aliens-démons, 1963), HAARP (programme de développement d’armes à haute fréquence, 1967), Sidekick (programme d’armement sur les faisceaux d’énergie dirigés, et ancêtre du programme Star Wars, 1974), Crystal Knight (programme de mise au point d’optiques adaptatives pour usage militaires, 1974), Garnet (programme de cartographie des aliens-démons sur Terre afin d’évaluer leur implantation et leur main mise sur Terre).
Le MAJI a été dissoute en 2012 par l’ancien président américain Obama.
Le programme AATI (‘Advanced Aerospace Threat Identification Program’ ou ‘Programme d’identification de menace aérospatiale avancée’) de 2007 à 2012, n’a rien à voir avec le programme Grudge. Il s’agit d’un programme de l’ US Air force et du commandement de guerre spatiale qui est un prolongement du programme guerre des étoiles des années 80-90 qui vise simplement à pouvoir identifier depuis le sol ou sur les capteurs des missiles-antimissiles les cibles et les menaces, en particulier qui permet de différencier les leurres des ogives nucléaires réelles.
- 2ème SSP : VRIL
Le deuxième de ces programmes spatiaux n’est autre que celui du « 4ème Reich » hérité des connaissances nazies connu sous l’appellation « Vril » et opérant essentiellement sur Terre.
Ce programme fût initié dès 1924 à la suite de la transmission de plans technologiques avec des aliens-démons, et accentué lors de la seconde guerre mondiale. Les scientifiques nazis avaient une avance technologique considérable sur les alliés. Tout au long de cette période, ils ont effectué des recherches opiniâtres dans tous les domaines de l’aéronautique et de l’aérospatial jusqu’à aboutir à la réalisation de vaisseaux spatiaux opérationnels. Ils ont non seulement bénéficié d’une aide démoniaque, mais également d’une véritable compréhension des lois de la physique qu’ils ont su appliquer et mettre en œuvre.
Le chef occulte (‘pindar’ ou ‘queue du dragon’) de ce ‘4ème Reich’ n’est autre qu’Obama, depuis 1997, et son but n’est autre que l’instauration d’un Reich millénaire (ou ‘règne de l’antéchrist’) qui doit instaurer un Nouvel Ordre Mondial (celui du Saint Empire Romain Germanique) basé sur la Charia sur Terre et l’extermination des juifs et des chrétiens et de toute spiritualité authentique. Ce Nouvel Ordre Mondial aura pour capitale Aix-la-Chapelle et sera instauré suite à la mise en place d’une troisième guerre mondiale dans quelques années.
- 3ème SSP : Solar Warden et l’USNSF
Le troisième de ces programmes spatiaux, entièrement créé par l’US Navy, se nomme Solar Warden (qui signifie ‘les gardiens du système solaire’).
La marine américaine a secrètement développé ce programme spatial parallèle, constitué de huit groupes de combat.
Possédant des chasseurs de plusieurs centaines de mètres et des vaisseaux de plusieurs kilomètres de long, de profils différents (cubiques ou tétraédriques), capable d’effectuer des opérations dans l’espace lointain.
Historique :
Solar Warden fût crée en 1947 de manière indépendante du gouvernement américain, pour lutter contre la Cabale, le 4ème Reich’ et les aliens-démons, suite à la découverte par la Navy de documents nazis capturés.
De 1947 à 1957, Solar Warden était une section secrète du corps des Marines américains, indépendant du gouvernement qui luttait sur Terre pour essayer de détruire le 4ème Reich, la Cabale et l’emprise des aliens-démons sur l’Humanité.
De 1957 à 1961, Solar Warden développa ses premiers vaisseaux antigravitationnels (baptisés ARV) à partir des plans de soucoupes nazies et des prototypes de soucoupes récupérés et améliorés.
A partir de 1957, le président américain Eisenhower créa l’USNSF (‘United States Navy Space Fleet’) de manière indépendante du gouvernement américain. Selon les décrets de Eisenhower, l’USNSF ne doit rendre de compte à personne et ne doit obéir qu’au seul président des Etats-Unis. Dès 1961, l’USNSF intégra immédiatement dans sa structure Solar Warden dont l’éthique est tournée vers le bien de l’humanité.
En 2008, la conquête de la présidence des Etats-Unis par Obama à travers un coup d’état a obligé l’USNSF à se séparer du commandement des Etats-Unis. L’USNSF décida de prendre son indépendance totale et de ne plus obéir au président des Etats-Unis sauf exception.
Ainsi, depuis 2008, l’USNSF décide de façon autonome des stratégies nécessaires pour protéger l’humanité des forces du mal (démoniaques et humaines sur Terre).
Depuis 2017, l’USNSF est à titre exceptionnel sous commandement du président Trump qui œuvre pour le bien de l’Amérique et de l’humanité.
Gary McKinnon
Revenons à présent à Gary McKinnon.
Ce hacker nocturne, du nom de Solo, est arrêté par Jeff Donson, détective de l’Unité nationale contre les crimes de haute-technologie du Royaume-Uni, le matin du 19 mars 2002.
Accusé par les États-Unis, d’avoir pénétré 97 serveurs informatiques de plusieurs institutions du gouvernement américain (53 de ces ordinateurs appartenaient à l’armée américaine, 26 à la Marine, 16 à la NASA, 1 au département de la Défense, et 1 à l’armée de l’air) entre 2001 et 2002.
Sur cette période, Gary McKinnon reconnu avoir infiltré les dossiers des systèmes militaires américains afin d’y découvrir des preuves d’une présence extraterrestre, de technologies à énergie libre et plus avancées dans le domaine des propulsions par antigravité. Il était imprégné du désir de les révéler et de les rendre accessible à la citoyenneté mondiale.
Sa passion pour l’ufologie remonte à sa jeunesse : en Écosse où il grandit, passionné d’astronomie, à l’âge de douze ans il fût témoin oculaire d’un ovni dans le ciel, et à l’âge de quinze ans, il intégra l’Association britannique de recherches sur les ovnis nommé Bufora.
Il relata par ailleurs que son père observa des phénomènes ufologiques laissés inexpliqués près de Bonnybridge (ville écossaise considérée comme la capitale écossaise des observations d’ovnis en raison de sa réputation : en effet, entre 1992 et 1994, plus de 600 phénomènes ufologiques y furent aperçus).
Toutes ces observations l’intriguèrent et constituèrent le nœud de sa passion pour le sujet controversé des autorités.
En 2001, il s’intéressa aux divers témoignages du projet Révélation (‘Disclosure Project’) initié par le Dr Steven Greer, présenté au National Press Club, dont le but était de recenser près de 400 témoignages de personnalités issus de différents corps de métier témoignant avoir observé des ovnis parfois de très près ou ayant étés au courant de preuve de vie extraterrestre.
Donna Hare
Le témoignage de Donna Hare, conceptrice graphique pour Philco Ford Aerospace, un sous-traitant de la NASA, l’a particulièrement intéressé. Elle déclara que dans les bureaux de l’édifice 8 du Centre Spatial Johnson où étaient stockés des milliers de photographies ‘brutes’ de la NASA, certains de ses collègues avaient la tâche de ‘retoucher’ les images satellites à haute résolution pour effacer les traces évidentes d’ovnis, avant de les distribuer dans le domaine public.
L’existence d’un tel protocole en place de la part de l’agence spatiale américaine dans l’objectif de détruire des clichés jugés trop ‘explicites’ d’un point de vue ufologique est révoltant !
Son témoignage :
« J’étais dessinatrice industrielle chez Philco Ford aeropace, un des contractants de la NASA, de 1967 à 1981. Mais la plupart du temps je travaillais dans le Bâtiment 8 du centre spatial Johnson. J’avais une accréditation pour circuler dans les zones réservées. Il m’est arrivé de pénétrer dans un labo photo de la NASA, et de parler avec des techniciens. L’un d’eux attira mon attention sur une tache… Je lui ai demandé si c’était un défaut sur la pellicule, et il m’a répondu en riant : « Les défauts de pellicule ne projettent pas d’ombres au sol ! » C’était une photo aérienne, sans doute de la Terre parce que je pouvais voir des sapins, et cette ombre ronde, légèrement ovale, était orientée dans le même sens que les ombres portées des arbres. C’était pour moi un ‘objet non-identifié’, qui se trouvait à faible altitude au-dessus des arbres. J’ai réalisé que c’était un secret parce que je lui avais demandé ce qu’il comptait faire de cette information, et il m’avait répondu : « Nous faisons toujours en sorte de les effacer avant de les proposer à la vente. »
J’ai par la suite interrogé d’autres personnes, mais en-dehors des bureaux de la NASA. Un garde m’a confié qu’il avait été chargé de brûler des photos, sans les regarder. Il était lui-même surveillé par un autre garde pendant cette mission. Il avait cependant vu une des photos, et elle représentait un ovni. Il avait alors reçu un violent coup sur la tête et s’était évanoui. Il est depuis très effrayé, et mériterait d’être placé sous protection.
J’ai connu également une personne qui s’était trouvée à l’isolement avec les astronautes d’Apollo placés en quarantaine après leur retour; ils lui avaient révélé avoir vu un ovni sur la Lune pendant leur alunissage. Mais ils lui avaient ordonné de garder ça pour lui. »
https://www.youtube.com/watch?v=jR6WcSk6zn8
Sur la base de ces assertions, le jeune McKinnon orienta sa recherche en s’infiltrant dans le système de l’US Space Command (division de guerre spatiale du Département de la Défense américaine). Il infiltra un ordinateur contenant un fichier Excel au nom très intrigant. Ce tableau s’intitulait « Non-Terrestrial Officers » (‘officiers non-terrestres’). Sur cette feuille était inscrit une vingtaine de lignes contenant des noms et des grades. Sur une deuxième feuille, figurait des transferts de matériel, qualifiés de « ship to ship » (‘vaisseaux à vaisseaux’) et de « fleet to fleet » (‘flottes à flottes’) ne figurant pas dans l’inventaire militaire américain. De plus, pour couronner le tout, il découvrit sur un ordinateur du réseau un dossier qui attira son attention, parce qu’il en contient deux : Processed Images / Unprocessed Images (‘images traitées’ / ‘images non-traitées’). En entrant dans le dossier ‘non-traité’ (ou ‘brutes’) il découvrit des images très lourdes à charger (sa connexion lente ne lui permettait que d’avoir un débit de 56 kb/s au maximum). Il a donc l’idée de réduire la résolution couleur de la machine dont il avait pris le contrôle, pour afficher cela plus rapidement. Malgré cela, ça allait prendre du temps à charger. Il en choisit une au hasard, et l’image se charga de haut en bas, lentement, ligne par ligne, laissant apercevoir la planète Terre et au fur et à mesure, prise depuis l’espace, un long engin lisse, en forme de cigare, aux extrémités légèrement aplaties et avec des dômes sphériques au-dessus, en dessous, sur les côtés et les extrémités.
Son témoignage :
« J’ai sorti une image d’un de ces dossiers, mais je ne disposais que d’une connexion téléphonique très lente, à 56K, et, en utilisant une commande à distance j’ai dégradé l’information de couleurs à 4bit avec une résolution d’écran vraiment très basse, mais l’image s’affichait toujours par saccades. Et ce qui est apparu sur mon écran était étonnant. Tous mes efforts étaient enfin récompensés. C’était une image de quelque chose qui n’était certainement pas synthétique. Ça se trouvait au-dessus de l’hémisphère terrestre. Un genre de satellite. En forme de cigare avec des dômes géodésiques au-dessus, en-dessous, vers la gauche, la droite et à ses extrémités, et bien que ce soit une image de basse résolution ça apparaissait bien défini. Cette chose flottait dans l’espace, avec l’hémisphère terrestre bien visible en-dessous, et sans rivets, ni soudures, rien qui ait l’aspect de nos constructions habituelles »
« L’hémisphère terrestre occupait les deux tiers de l’écran et à mi-distance entre le haut de l’hémisphère et de l’image se trouvait un objet ayant la forme classique de cigare, mais avec des dômes géodésiques, au-dessus,, en dessous, sur l’un des côtés et j’imagine de l’autre côté aussi. Il avait les extrémités comme un cigare légèrement aplati »
« Il n’y avait aucune soudure, aucun rivet, pas d’antennes télémétriques, rien du genre. Il est évident que ça ne ressemblait à aucun satellite que j’avais vu. Je suis accro à l’espace depuis l’âge de 14 ans donc j’en ai vu, des photos de satellite ».
« Ca donnait l’impression qu’il n’était pas d’origine humaine »
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=DxT0fCvaAXE
https://m.youtube.com/watch?v=y6Is7809XFU
https://www.youtube.com/watch?v=k_JaICaiLfE
La photographie que Gary McKinnon ressemble au modèle de ‘cigare’ que je vous communique ci-dessous, et qui a été aperçu dans les années 60 au-dessus de l’aérodrome d’une base militaire de l’OTAN en Italie.
L’ovni qu’il a aperçu n’est pas un cigare de la Cabale, mais bel et bien un ‘cigare’ d’aliens-démons, dont la taille est estimée à 340 mètres de long.
D’étranges rumeurs douteuses (la source n’est pas identifiée lors de la publication dans le quotidien britannique The Guardian) circulèrent selon lesquelles Gary McKinnon aurait mentionné les noms de deux vaisseaux (le USSS LeMay et le USSS Hillenkoetter, le sigle USSS signifiant « United States Space Ships »). Bien que les noms des vaisseaux soient exacts et soient ceux de deux personnes de haut rang de la Cabale, le sigle USSS quant à lui est faux. McKinnon ajouta par la suite qu’il fumait de l’herbe à l’époque lorsqu’il piratait, si bien qu’il ne se souvient pas du nom exact des vaisseaux.
Roscoe Henry Hillenkoetter
Roscoe Henry Hillenkoetter était un officier supérieur de l’US Navy, et fut le premier directeur de la CIA en mai 1947. C’est lui qui a imposé et crée la marine nucléaire de 1953 à 1967. C’est sous ses ordres qu’ont étés mis au point la miniaturisation des réacteurs nucléaires qui équipe les sous-marins et porte-avions américains. En 1957, il quitta l’US Navy et rejoignit l’association de recherches ufologiques le NICAP (Comité National d’Investigations des Phénomènes Aériens).
« En coulisses de hauts gradés de l’Air Force sont concernés au sujet des ovnis. Mais à cause du secret officiel et du ridicule, de nombreux citoyens sont conduits à penser que les objets volants non identifiés sont une absurdité. » (Déclaration d’Hillenkoetter dans unelettre au Congrès publié dans le New York Times, 1960)
Hillenkoetter avançait masqué. C’était à la fois un debunker et un agent du MAJI. Il faisait croire qu’il se battait pour la fin du secret ‘ovni’ afin de mieux infiltrer les réseaux ufologiques.
La Cabale lui attribua son nom à son deuxième ‘cigare’ en 1959.
Curtis Emerson LeMay, était un général des forces aériennes des Etats-Unis d’Amérique, et créateur du Strategic Air Command en octobre 1948 (instance suprême de commandement des forces aériennes stratégiques). C’est durant son épopée que la taille de ce commandement fût quintuplé, le transformant en outil extrêmement puissant, doté d’une terrifiante capacité de destruction. Il est également le créateur de la zone S4 à Papoose Lake à côté de la zone 51.
La Cabale lui attribua son nom à son premier ‘cigare’ en 1957.
Un de ses amis, Barry Goldwater, qui savait qu’une dissimulation sur les ovnis existait au cœur du gouvernement. Barry Goldwater, ancien sénateur de l’Arizona et Major Général de l’Air Force à la retraite, le soupçonnait d’être au courant et pour cause, Curtis LeMay, était un agent majeur du MAJI. Etant lui-même un des chefs des programmes secrets spatiaux, il était au courant de tout. C’est Lemay qui chapota la construction de la première base sur la Lune Luna 1.
Barry Goldwater, à cette époque-là, était au fait de certaines activités de couverture, mais également avait ouï dire quelques bruits de couloirs. Il savait que certaines activités avaient lieu au cœur de la base Air Force de Wright-Patterson.
Cette base possédait, en effet, trois secteurs particuliers :
Le premier secteur était une zone dédié à l’étude des cadavres des aliens. Ce premier secteur était baptisé ‘chambre bleue’ en raison de la barrière d’ionisation bleutée mis en place pour éviter toute forme de contamination (cf. étude de l’incident de Varginha au Brésil, 1996).
Le deuxième secteur et troisième secteur étaient une zone pour l’une, où on entreposait des débris technologiques en vue de les étudier, et une zone pour l’autre, où on étudiait les technologies pour abattre les ovnis afin ensuite d’effectuer de la rétro-ingénierie dessus.
D’autres rumeurs et fakes fantaisistes circulent concernant une liste d’officiers et de vaisseaux qui ne sont pas celles de Gary McKinnon car ce dernier n’a rien pu enregistrer. Il faut être vigilant avec les informations trouvées sur internet, car certaines informations sont issues directement des services de debunking de la Cabale !
Conclusion :
Par son piratage informatique, Gary McKinnon contribua à révéler au monde l’existence d’un programme spatial secret. Suite à cela, l’US Space Command cessa d’exister et ses opérations ainsi que ses ressources furent transférées directement au US Strategic Command (commandement dont les activités recouvrent la dissuasion stratégique et les stratégies globales de guerre spatiale et de cyberespace) situé sur le complexe de Cheyenne Mountain).
Il vous a été présenté, avec des détails, l’existence de trois programmes spatiaux secrets.
Si de tels programmes restent Top Secret c’est que leur révélation démontrerait l’existence d’une guerre spatiale sans merci contre des aliens-démons à l’apparence reptilienne qui a depuis des millénaires pris en otage l’humanité.
Les escadrons de combats de l’USNSF et de Solar Warden constituent le seul rempart contre ces entités démoniaques qui asservissent l’Homme et qui suivent un agenda bien déterminé.
Si on en croit les prophéties, ces derniers se dévoileront à la fin de la troisième guerre mondiale qui aura lieu dans les dix prochaines années et initieront un règne totalitaire sur Terre.
Cordialement,