Face à cette Europe qui divise.
Face à cette Europe qui fait l’autruche.
Face à cette Europe qui étouffe son fruit.
Face à cette Europe qui ne rassemble pas.
Dont les peuples ne veulent plus.
Moins d’Europe ou plus d’Europe, et quelle Europe ?
Jean Monnet, partisan avec ses comparses européens de l’Europe a petit pas recule pied à pied dans sa tombe.
L’argent roi, la concurrence sans limites, l’exploitation des plus faibles, la loi du marché et du libéralisme a tout va, forment une trahison aux pionniers de l’Europe.
L’idéal européen était une Europe des solidarités, une Europe de la paix, une Europe de la justice sociale.
Que constatons nous aujourd’hui ?
Une Europe dévorée par le libéralisme économique, rongée par les crises migratoires, et scindée par l’injustice sociale et par la montée et de l’islamisme et des populismes.
Y a t-il un cap’tain Europa dans le bateau ivre ?
Les sociétés d’Europe se désindustrialisent, les liens familiaux se disloquent, l’éducation se délite, les peuples se déchirent.
Dès le traité de Rome de 1957, les six pays fondateurs s’étaient engagés à éradiquer la guerre parmis les peuples. Or c’est tout le contraire qui s’est produit.
Les dirigeants fondateurs ont préféré privilégier une Europe soumise au diktat libéral qu’a une Europe portée par la volonté des peuples qui avait pour vocation la paix.
Aujourdhui, les peuples s’éveillent pour un renouveau d’une Europe fidèle à ses origines, la coopération entre les peuples.
Les peuples ont aujourd’hui conscience qu’il est temps de faire une autre Europe, avec certes une paix économique, mais surtout une entente sur les valeurs collectives d’une destinée commune.
Face à une Europe du sang et des larmes faisons une Europe pour tous, tous les jours.
Cordialement,