
Plus qu’une image… un symbole !
Comment les pires horreurs de l’humanité se sont-elles développées ?
Un micro-phénomène ? Appelé à prendre de l’ampleur ?
Il est de notre devoir absolu d’étouffer le mal avant qu’il ne se propage ! C’est là un devoir qui s’impose lorsqu’on défend l’humanité. C’est là un devoir qui s’impose à chaque citoyen prétendu humain.
A présent un clin d’oeil dans le passé.
De l’inquisition en passant par les grands totalitarismes de l’histoire, la négligence coupable face à pareille phénomène a toujours eu raison de l’humanité. En la matière, c’est-à-dire ce laxisme, cet angélisme, cette tolérance face à cette idéologie mortifère est disons-le haut et fort, coupable.
A présent, il est temps de réagir et ne venez pas pleurer lorsqu’il sera trop tard.
Certains estiment qu’il ne s’agit là que d’un fait divers ajouté aux oubliettes de nos mémoires collectives. Certains considèrent que l’humanité est elle-même l’auteur de sa propre mort. Et pourtant…
Rappelons que notre humanité est capable de bonté naturellement, d’empathie, de coopération, de solidarité, de bienveillance et d’altruisme. Elle est capable du meilleur comme du pire, lorsqu’elle est manipulée par des forces qui la dépassent.
Ces forces diaboliques, le plus souvent masquées, ont poussé l’humanité dans la finalité du mal, vers une rampante déshumanisation orchestrée. L’humanité a été orientée pour qu’elle accepte toute sorte de déviance et de dépravation par le vecteur de micro-phénomènes tels que la radicalisation, tels que le masochisme et la perversion à tous les niveaux. En effet, aujourd’hui, on assiste subrepticement dans nos sociétés à un renversement total des valeurs qui nous sont inculquées dès notre plus jeune âge.
Ce qui était anormal nous paraît normal, ce qui était mal nous paraît bien.
Rappelons que cette finalité est ce qui s’appelle ‘banalité du mal’ par ailleurs déjà analysé avec brio par Hannah Arendt. Dans ses analyses, elle démontre l’origine du mal dans les systèmes totalitaires.
La norme étant un ensemble de règles à appliquer dans une société donnée, reflet de ses valeurs c’est-à-dire de ses idéaux.
Lorsqu’il y a renversement des valeurs, la norme devient une pathologie criminelle. Ainsi suivre la norme fait de nous des aliénés. C’est ce que l’on appelle la normopathie.
Lorsqu’on ferme les yeux sur des dérives sociétales c’est déjà se préparer sournoisement à une norme qui n’est que déviance par rapport à l’échelle de valeurs universelles.
Pour cette raison, banaliser ce mal, voire en sourire ne me fait pas rire. Et ces ricanements sont de triste augure. Dès lors, la vigilance est de mise.
C’est une image certes, où l’on voit des dégénérés en phase de devenir la norme.
De plus, si on analyse le logos communément répandu. Être fidèle, c’est être rétrosexuel, par exemple. Être correct, c’est porter des jeans troués, et ainsi de suite.
Désolé de paraître retrograde ou père la morale, mais il y a danger pour nos sociétés.
A tous les niveaux de la société, pouvoir, éducation, vie privée comme vie publique, la gangrène est partout et signe une inversion totale des valeurs. Ce laisser faire, ce relâchement des mœurs sur les différentes couches de la société est symptomatique d’une pathologie.
Aujourd’hui, tout transpire à travers la publicité et leurs messages subliminaux, les médias, les symboles utilisés dans les TIC (‘technologie de l’information et de la communication’), les logos des grandes enseignes.
Cette imprégnation progressive des esprits, imposée, prépare le terrain de l’annihilation collective des consciences.
Relisez 99 F de Frédéric Beigbeder, il y expose ce renversement des valeurs au cœur du monde de la publicité.
L’humanité est menacée afin de devenir étrangère à elle-même : on la manipule pour qu’elle accepte l’esclavage de la perception au cœur de la matrice. Ces forces maléfiques, au plus haut niveau les archontes, agissent directement sur l’illusion matricielle de la fausse réalité en transformant nos perceptions.
La finalité du mal est simple : assujetir l’homme, ses pensées ainsi que ses émotions afin de le déshumaniser. Pour parvenir à ce but, par la suite, le contrôle technologique est nécessaire afin que plus personne ne puisse élever sa conscience au-delà de cette fausse réalité.
Voilà, pour ceux qui s’interrogent encore, l’incarnation de Lucifer sur Terre dont la volonté est de détruire nos âmes.
Une simple image certes, mais un signe prémonitoire de la chute finale.
Cordialement,