Encore des paillettes… des cacahouètes
Mais qui est donc Oprah Winfrey ?
Reine déchue du talk-show américain.
Elle, issue d’un milieu modeste devenue milliardaire, encensé par les médias.
Elle dont la petite histoire défile à la télé.
Elle qui devant la fuite du temps se couvre de crème à base de cellules de prépuce pour rester toujours belle et glamour.
Avec la création de son école de filles en Afrique du Sud, la Oprah Winfrey Leadership Academy for Girls, on aurait pu la croire philanthrope. En effet, cet établissement est destiné aux enfants victimes de sévices ou ayant perdu leurs parents à cause de la violence ou du sida. Des fracassés de la vie.
Ci-dessus João Teixeira de Faria, grand ami d’Oprah
Surnommé Jean de Dieu. Il était un guérisseur brésilien, accusé d’abus sexuels par plus de 300 femmes.
Ses fidèles se comptent en millions pour suivre la messe de l’Eglise d’Oprah. Elle toujours bien vue sous tout rapport, une amie, une sœur, une confidente, une directrice de conscience, pasteur des temps modernes au féminin, qui influença des millions de téléspectateurs à voter démocrate. Elle-même soutient de Barack Obama en 2008 puis en 2012, puis d’Hillary Clinton en 2016. Elle, illusion des valeurs sacrées de l’Amérique. Elle capable de “réconcilier une Amérique divisée” selon les propos mensongers de CNN, trône sur les paillettes et le sunlight du petit écran.
Et bien, cette âme si pure, au passage grande amie du prédateur sexuel Weinstein, et qui fût impliquée dans des scandales de pédocriminalité au sein de son établissement en Afrique, figure sur la liste noire du réseau Epstein.
Derrière la vitrine, un monstre.
Cordialement,
