L’argent fait le beau temps.
L’influent Georges Soros agit sur nos vies en vendant, achetant, spéculant sur plusieurs domaines privés comme publiques. L’un de ces chevaux de bataille de prédilection est le prétendu changement climatique dont il a été montré à diverses reprises qu’il repose sur des mensonges, dont des données falsifiées ou extrapolées.
Ce maître chanteur a ainsi convertit les puissants de ce monde, à grand renfort d’argent, à sa cause, celle du 4ème Reich.
Le 15 août 2016, DCLeaks a publié 2 576 dossiers principalement liés à l’Open Society, fondation de Soros. Parmi ceux-ci on trouve les objectifs internes à la Fondation, ainsi que la planification écologique avec ses priorités.
Selon ces documents, Soros a versé 10 millions de dollars par an à l’ancien cabaliste, vice-président des États-Unis et Prix Nobel de la Paix 2007, Al Gore, afin de lui donner une vitrine luxuriante à ses activités, censés sauver la planète qui comme vous le savez tous est menacé d’extinction…! La bonne blague.
Ainsi, Al Gore, prostitué par Soros, divulgue partout la bonne parole auprès de son public conquis : exagération des revendications et trucage des données concernant les changements climatiques provoqués par l’homme.
Bien que ces documents ne le mentionnent pas, il est probable qu’Al Gore touchait ce magot dès les années 2000.
On se souvient qu’en 2006, Al Gore créa sa fondation l’Alliance for Climate Protection (‘Alliance pour la protection du climat’).
Deux ans après, en 2008, l’Alliance lanca sa campagne de pression et de propagande climatique auprès du gouvernement américain afin de soumettre le peuple aux réductions énergétiques sur les émissions de gaz à effet de serre.
A cet effet, l’ACP reçu 10 millions de dollars de l’Open Society Institute, et l’année suivante 5 millions de dollars supplémentaires.
Comme quoi climat et argent sont intimement liés.
En 2011, l’ACP se mua en le Climate Reality Project (‘Projet de la réalité climatique’) afin de mettre les mécanismes de l’économie de marché au service des questions environnementales.
Au total, on estime que l’Open Society Foundation de G. Soros a distribué plus de 16 milliards de dollars de 2011 à 2016 afin de toujours sauver la planète.
Mais, disons-le sans ambages, en réalité la planète réclame l’homme et non pas Soros, ni Al Gore.
La finalité ultime du mythe du réchauffement climatique est clairement la désindustrialisation engendrant un chômage de masse et la rupture entre économie réelle et économie virtuelle : n’oublions pas que G. Soros excelle dans la spéculation.
On fait alors de l’argent sur l’argent, et non plus de l’argent sur des produits manufacturiers, ce qui enclenche une déconstruction de l’économie réelle incarnée par l’homme.
Et si Soros s’attaquait à la véritable pauvreté ?
Cordialement,