Les moteurs antigravité de la Cabale
La Cabale, via les programmes secrets du MAJI, a lancé dès 1957 la construction de ses premiers vaisseaux antigravité : les cigares baptisés ‘cents’.
Il existe seulement quatre exemplaires développés entre 1956 et 1968 :
Voici leurs noms :
Le CURTISS E. LEMAY mis en service le 17 juin 1958.
Le ROSCOE H. HILLENKOETTER mis en service le 18 mars 1960.
Le EDWARD TELLER mis en service le 4 aout 1963.
Le HARRY S. TRUMAN mis en service le 7 décembre 1968.
Durant les années 1950, de 1954 à 1956, à la demande du MAJI (programme Galileo, programme d’étude des systèmes de propulsion antigravitationnels de la zone S4 aux bords du Papoose Lake, Nevada) au sein du complexe militaro-industriel américain, les plus grandes firmes testent sans succès de multiples procédés empiriques supposés annuler la masse et l’inertie d’un objet.
Ils échouent tous car les théories physiques comme la Relativité Générale, la Mécanique Quantique et l’Électrodynamique quantique reposent sur des postulats erronés, et l’application de celles-ci ne permettent pas la génèration d’une maîtrise de l’antigravité.
De manière empirique, trois moteurs à propulsion antigravité ont étés développés.
Voici leurs noms et leurs principes de fonctionnement :
Le Mass Field Generator (MFG)
Reprenant le procédé théorique inventé en 1953 par le physicien soviétique V. Vladimirskii, la société texane Bell Aerospace de Fort Worth réussi, empiriquement, a obtenir le premier effet d’antigravité dans ses laboratoires en 1955. En mai 1956, ils réussissent a générer un volume sphérique d’antigravité de 2 572 mètres cubes (17 mètres de diamètres) et à annuler 89,3% de la gravité. Le moteur obtenu baptisé MFG, pesant 2,353 T est opérationnel fin 1956.
Sans le savoir et avec succès, à la NASA, Podkletnov reproduira le MFG en 1998.
Le principe du MFG :
Dans un carter, un bobinage supraconducteur de niobium-titane en spirale sur un tore métallique de section carrée (28 x 28 cm) de 95 cm de diamètre, est fixé sur l’arbre d’un moteur électrique de 4,247 MW.
Le fil du bobinage est dans une gaine isolante dans laquelle circule de l’azote liquide refroidissant le supraconducteur à une température de – 195°C. Le bobinage est alimenté par un courant électrique à haute fréquence (8,3 kHz) de 48 478 Volts et 4 468 Ampères. Il tourne à 36 000 tours/min en sens de rotation inverse du courant dans le bobinage.
Les champs, se croisant à 90°, créent une onde stationnaire qui augmente l’énergie des ondes rayonnées par la matière présente à l’intérieur du champ d’ondes stationnaires.
La pression des ondes de la matière sur les ondes de l’espace temps environnant est alors plus forte que la contre pression d’ondes exercée par l’espace temps sur cette matière, c’est l’antigravité. Cette matière perd alors 89,3% de son poids et de son inertie, la masse étant précisément la surpression de l’espace temps sur la matière.
Le Mass Field Disruptor (MFD)
En mars 1979, le MAJI détourne les moyens des laboratoires nationaux Sandia à Los Alamos (Nouveau Mexique) pour développer le Mass Field Disruptor (‘interrupteur de champ de masse’), version améliorée du MFG, sans aucune pièce mécanique tournante : le bobinage rotatif du MFG est remplacé par un bobinage statique dans le MFD.
En fonction de leur nombre dans un volume donné, les MFD réduisent la masse d’un vaisseau de 89,3 % à 99,9 % générant un volume sphérique d’antigravité de 1 259 833 mètres cubes (134 mètres de diamètre).
La mise au point du MFD s’achève en juin 1985.
Le principe du MFD :
Un bobinage supraconducteur de niobium-titane (NbTi) est enroulé en spirale (84 cm de section circulaire) sur un tore en carbone de 8 m de diamètre et 1,10 m de section circulaire. A l’intérieur de ce tore, en son centre, est placé un bobinage cylindrique de niobium-titane (NbTi) statique de 6,29 m de diamètre pour une hauteur de 1,10 m, à l’intérieur duquel tourne un plasma de mercure.
Le bobinage supraconducteur génère un champ magnétique radial perpendiculaire au champ poloidal du bobinage torique dont le courant est en sens de rotation inverse du plasma de mercure (comprimé par les champs magnétiques à une pression de 49 645 Atmosphères).
Le noyau torique du premier bobinage contient 720 électrodes en NbTi réparties en deux cercles concentriques de 360 électrodes chacuns, traversés par un courant électrique de 3,4 à 5,8 millions de Volts et une tension électrique de 3 400 à 4 700 Ampères, modulé à 8,3 khz, appliqué aux bobinages et aux électrodes. Ces dernières mettent en rotation les 2,493 T de mercure à 74 600 tours/min.
L’ensemble pèse un total de 33,958 Tonnes.
Le Magneto-Plasmic Drive (MPD)
En septembre 1955, le MAJI détourne les moyens de l’APL (Advanced Propulsion Laboratory) de la société General Atomics à Los Alamos (Nouveau Mexique) pour développer le moteur magnéto-plasmique MPD dont la mise au point s’achève en février 1956.
Le principe du MPD :
De l’hydrogène est ionisé (rendu électriquement conducteur) et chauffé à 13, 739 millions de degrés par une antenne à micro-ondes particulière, l’helicon.
Un puissant champ magnétique confine le plasma d’hydrogène loin des parois de quarz (qui autrement seraient vaporisées par la chaleur). Ce plasma est ensuite accéléré à 176 893 km/h par une tuyère magnétique à deux étages.
Le deuxième étage, à poussée vectorielle magnétique, peut dévier le plasma de 28° hors de l’axe (avec un angle total de 56°).
D’un diamètre de 3,88 m pour une hauteur de 6,34 m, le premier moteur, le MPD mark 1, développe une poussée de 7,9 T dans le vide et de 6,457 T à 1 bar (au niveau de la mer).
En 1983 un deuxième moteur, le MPD mark 2, développant 13,34 T dans le vide et 10,548 T à 1 bar est produit. Il se distingue par l’ajout d’un turbo-compresseur électrique de 2,624 MW, augmentant sa hauteur à 9,22 m. Ce compresseur supraconducteur comprime n’importe quel gaz dans le MPD mark 2 qui le ionise avant de l’accélérer. Ceci permet au MPD mark 2 de fournir toute sa poussée sans utilser sa réserve d’hydrogène dès qu’il est dans l’atmosphère d’une planète ou d’un satellite (Terre, Mars, Venus, Titan, etc.).
Conclusion
L’existence des vaisseaux secrets de la Cabale montre à quel point l’humanité est trompée par ses élites qui les dissimule.
Le programme spatial officiel, à base de fusées primitives, ce dernier servant à masquer le véritable programme spatial et à le financer à nos frais par une surfacturation de quatre fois du prix réel du programme spatial officiel, nous cantonne à l’orbite terrestre afin que nous ignorions le programme de la Cabale, ainsi que l’exploitation des surfaces martiennes et lunaires (bases minières).
Là où Kennedy a échoué (le programme lunaire Apollo), le président Trump réussit en dévoilant l’existence de cette Cabale (ou Deep State) et en permettant les révélations sur le véritable programme spatial de la Cabale.
L’apparition récente des brevets (HFGWG et EFG) alimentés par un réacteur de fusion à compression plasma, déposés au nom du Secrétaire de la Marine par Salvator Pais de la Naval Air Warfare Center Aircraft Division ne fonctionnent pas. Pais n’a jamais travaillé dans la recherche militaire mais occupait un emploi subalterne de relation avec le public au centre de la recherche navale. Ses brevets ne fonctionnent pas et sont typiques des délires de bipolaires qui grapillent des projets irréalistes divers en les faisant passer pour des projets fonctionnels.
Source : TopSecret magazine + notes personnelles.
Cordialement,