Le réchauffement climatique part en fumée
Il y a des histoires farfelues qui permettent à certaines personnes de s’enrichir en misant gros sur la naïveté des gens, sur la manipulation médiatique et sur la corruption des politiques.
Quoi de plus simple ? Il suffit de posséder quelques actions dans de grandes sociétés pétrolières et gazières, de lancer en parallèle une eco-société de valeurs en bourse afin de réaliser des investissements écologiques, puis d’utiliser une petite partie des bénéfices de l’entreprise pétrolière afin d’acheter des crédits carbone déductibles de sa propre société d’investissement.
D’un côté, on réalise des gains incroyables, de l’autre côté, on sauve la planète.
What else ?
C’est ainsi qu’Al Gore et David Blood ont empocher des centaines de millions de dollars, à partir de 2004, tout en profitant du système de plafonnement et d’échange imposé par le président Obama en 2009, conseillé par son parrain de la politique climatique John P. Holdren, afin de favoriser l’élite tout en générant la plus grande augmentation d’impôts de l’histoire de l’Amérique pour les classes moyennes !
Mais attendez…
David Blood ? mmm ah oui, ancien de Goldman Sachs et agent des Rothschild.
Al Gore ? mmm ah oui, ancien vice-président de Clinton, va-t-en guerre du réchauffement climatique et agent des Rockefeller et de Rothschild.
John P. Holdren ? mmm, ah oui, ancien conseiller principal d’Obama, directeur du bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison Blanche, et agent des Rothschild qui soutenait dans les années 1970 le contrôle des populations par l’eugénisme.
Que de beau monde ! Mais il y a mieux.
Obama fait des miracles. Un mensonge engendrant d’autres mensonges…
Dans son fameux discours devant les Nations Unies en septembre 2009, il dénonce l’urgence d’agir contre la montée du niveau des mers qui menace toutes les côtes, contre les tempêtes et les inondations qui menacent chaque continent, les sécheresses, les mauvaises récoltes qui entraînent la sous-alimentation ainsi que les conflits ou encore les familles obligés de devenir des réfugiés climatiques…
Tout y passe ! Obama le messie du changement climatique ! Comme il le dit lui-même : « la sécurité et la stabilité de tous les pays et de tous les peuples, notre prospérité, notre santé et notre sécurité sont en danger, notre temps pour remédier à cette situation est limité ».
Derrière le réchauffement climatique, se tient tout l’Évangile selon Rothschild et son messie Obama !
Raison pour laquelle, Obama a pourvu tous ses départements de l’environnement, de l’énergie et de la science, d’adeptes de l’évangile d’Al Gore.
En vérité, je vous le dit : Sauvez la planète ! Soyez bénis ! Obama vous le rendra !
Ça c’est aux States. En France, l’homme des Rothschild était Nicolas Sarkozy. C’est lui qui introduisit la taxe carbone qui augmenta le coût de l’énergie pour les Français, une « question de survie pour l’espèce humaine ». En Allemagne, c’est Joachim Schellnhuber qui voulait allouer un budget carbone à tout allemand et à tout le monde.
Et au niveau mondial, oh surprenant…, c’est Simon Linnett, directeur général adjoint de la banque Rothschild (!), et a leur service depuis l’obtention de son diplôme en 1975. Lui qui fut le grand militant d’une nouvelle organisation internationale, l’Agence mondiale de l’environnement, indispensable pour réguler les échanges de carbone. Cette agence s’associerait bien évidemment à la Banque mondiale, à l’organisation mondiale de la santé, à l’organisation mondiale du commerce, etc. que d’organisations sous la coupe des Rothschild. Ces organisations ont pour seule vocation le contrôle global et l’accomplissement n’étant autre que l’instauration d’un nouvel ordre mondial antichristique (plan Illuminati).
D’aucuns comprendra que face à un problème international (le changement climatique), la seule issue de secours ne saurait être qu’internationale ! Il est donc souhaitable que les gouvernements cèdent leur souveraineté nationale à une nouvelle agence mondiale sans laquelle un marché d’échanges des crédits du carbone ne pourrait être à l’ordre du jour.
La propagande politique reposant sur le changement climatique a pour genèse le mythe d’une augmentation significative des températures, atteignant des niveaux critiques, à cause des émissions de dioxyde de carbone prétendues causées par l’homme.
Mais en réalité, ces cycles de température sont normaux au vu de l’histoire de l’humanité. En effet, les variations de température au niveau mondial sont corrélées à l’activité solaire et aux cycles complexes des océans et de l’atmosphère. La corrélation entre réchauffement climatique et dioxyde de carbone est loin d’être établie et pour un simple fait : la causalité est nulle.
Les changements de température dépendent de la hausse ou de la baisse de l’activité solaire (taches solaires). En effet, une hausse de l’activité solaire génère une augmentation de la température, et une baisse de l’activité solaire génère une diminution de la température.
Ces dernières années, l’activité solaire ayant perdu de son intensité, les températures nont eu de cesse de chuter. Ce phénomène a conduit la propagande médiatique à changer leur discours narratif : on ne parle plus de réchauffement mais de changement climatique.
Lorsque l’activité solaire reprendra de nouveau lors du prochain cycle solaire, les températures augmenteront d’office, puis finiront par rechuter à la fin du cycle. Rien n’est nouveau, ce n’est que la manifestation d’un cycle naturel.
Cependant, l’actuel dérèglement de l’activité solaire qui dure depuis plus longtemps qu’a l’habituel est une anomalie à notifier, liée à la présence d’un astre dissimulé par la NASA et qui fera l’objet d’un prochain article.
Il ne faut pas se voiler la face : le climat change. C’est l’évidence même : le climat n’est pas statique, a ses humeurs.
A nous de prendre la mesure de ce changement qui nous échappe car au dessus de nous : le soleil.
Si l’on écoute l’évidence plutôt que les cris de Cassandre proférés par la propagande politico-mediatique, on se rend compte que le changement climatique n’est en rien provoqué par le dioxyde de carbone émis par l’homme.
Il est utile de rappeler que le dioxyde de carbone est bien un gaz à effet de serre mais négligeable au vu de ses proportions dans l’atmosphère. Il ne représente seulement que 0,0037 % des gaz à effet de serre tandis que le diazote 79%, le dioxygène 20%. Et ce que l’homme produit n’en est qu’une fraction non pertinente. Il convient donc de faire la part des choses.
Par ailleurs, le dioxyde de carbone permet la photosynthèse chlorophylienne, sans lui et sans l’effet de serre pour conserver la chaleur cette planète serait hostile à l’espèce humaine et a son écosystème.
De plus, c’est de loin la vapeur d’eau naturelle et les nuages qui contribuent davantage à l’effet de serre puisqu’ils produisent près de 96,5 % du phénomène naturel de rétention de chaleur.
Les niveaux actuels de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre, avoisinant les 400 parties par million (ppm), sont étrangement bas par rapport aux niveaux de l’évolution géologique et végétale. En comparaison, les niveaux étaient de 3 000 ppm voire plus jusqu’à la période Paléogène il y a 65 millions d’années.
Ajoutons à cela que pour la plupart des espèces vivantes sur Terre, une plus grande quantité de dioxyde de carbone constituerait un atout majeur pour leur survie. Des lors, on le voit bien, le CO2 est loin d’être un « polluant » nécessitant une réduction, mais un bienfaiteur.
Pour une défense du dioxyde de carbone, lire les analyses de William Happer et Harrison Schmitt :
https://www.wsj.com/articles/SB10001424127887323528404578452483656067190
Alors pourquoi diaboliser encore et encore le dioxyde de carbone en en faisant la principale cause du réchauffement climatique ?
Comme de nombreux scientifiques l’ont publié, le prétendu « réchauffement climatique » liée aux activités humaines, notamment les émissions de gaz à effet de serre, ne se vérifient pas du tout scientifiquement au travers des données chiffrées fiables. Les prédictions climatiques catastrophiques proviennent de modèles informatiques faussés comme l’illustre les données trafiquées de l’Institut Goddard. Or ce sont ces données qui ont étés utilisés principalement par le GIEC.
Les partisans du réchauffement climatique émettent des hypothèses fantasques : la capacité de l’océan à absorber davantage de chaleur que prévu, les multiples éruptions volcaniques difussant des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un pourcentage du rayonnement solaire, etc.
Tout cela n’est que poudre aux yeux.
En effet, force est de constater qu’il ne s’agit que d’un simple argument pour semer la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politique.
Les mesures prises par les gouvernements occidentaux pour soi-disant empêcher le réchauffement climatique tels que la taxe carbone ou le clean air act sont uniquement destinés à asservir l’homme et à le culpabiliser.
Et lorsque des scientifiques dénoncent l’imposture du réchauffement climatique ou d’autres personnes qui révèlent l’ampleur de ce qui est réalisé illégalement, on les empêche de publier dans les revues scientifiques ou sont encore marginalisés.
L’heure est grave… Vous pouvez tromper votre conjoint mais si vous ne triez pas vos déchets, si vous vous lavez, si vous prenez un avion, là vous êtes un criminel.
Cela montre qu’être climatosceptique est hérétique aujourd’hui. Pourtant des voix parmi les scientifiques et pas seulement dénoncent cette supercherie. On assiste à un véritable changement de valeurs, on privilégie la planète au détriment de l’homme.
Dans la même veine, des documents montrent que l’on utiliserait le prétexte du changement climatique pour mettre au pas l’homme et lui imposer des taxes qui financent l’Union européenne. En d’autres termes, il s’agit de rapt fiscal.
Les médias a la solde du pouvoir secret de la Cabale nous bombardent de programmes de lutte contre le changement climatique, ce qui asservit l’humanité à leurs bottes vertes.
L’idée est simple : on répète inlassablement l’imposture et plus on le répète souvent et plus elle devient vrai. La vérité n’étant que celle communément admise, plus on la martèle dans les esprits et plus elle finit par devenir communément admise. C’est ainsi que s’exerce le contrôle des esprits : on répète le mensonge inlassablement afin que les esprits adhèrent sans remise en cause à ce qu’on veut leur imposer. C’est ainsi que fonctionne toute religion. Le culte du Carbone ne fait pas exception.
La soumission à ce culte à été planifiée et orchestrée depuis les années 60. L’idée n’est pas nouvelle. La Cabale a sciemment opérée en actionnant simultanément les six fers de lance de leur structure politique occulte. Ces six sont le Club Rome, le Groupe Bilderberg, le Conseil des relations étrangères, la Comission Trilatérale, etc. le tout orchestré en sous-main par la Table Ronde, société secrète britannique.
http://clearlook.unblog.fr/2019/09/07/les-racines-du-totalitarisme-lagenda-21-et-lagenda-2030/
http://clearlook.unblog.fr/2019/09/10/largent-fait-le-beau-temps/
http://clearlook.unblog.fr/2019/04/22/soros-maitre-chanteur/
Ils ne s’en cachent même pas. Prenez Aurelio Peccei, fondateur du Club de Rome, il déclara en 1991 que l’humanité était l’ennemi principal. De là, dans l’application de leur plan d’asservissement, le Club de Rome plaida en faveur de l’instauration d’une taxe carbone globale pour un nouvel ordre économique mondial. A cet effet, le mouvement écologiste a été créé d’une part, et d’autre part le GIEC, organisation politique déguisée en organisme scientifique qui tire les ficelles en citant des scientifiques vermoulus et des données trafiquées.
Le changement climatique : un arbre qui cache une forêt de boue, source vive d’un nouvel ordre mondial fasciste.
Cordialement