Coup de foudre a Buckingham
Quand le rouquin terrible de la monarchie fait des siennes, la reine a la grippe et le peuple tombe malade d’hystérie contagieuse dans le monde entier.
Cette maladie mortelle pour la machine a rêves qu’est la monarchie britannique se nomme le Megxit.
En effet le prince Harry, fraîchement père de famille, marié à la clinquante et redoutable Meghan, au passage actrice américaine, divorcée et métis, cocktail explosif s’il en est, a décidé de quitter unilatéralement la monarchie britannique.
What a shame, au pays de never explain, never complain.
Le Megxit fait les gros titres et vend des millions.
Tout un cirque… qui fait les choux gras de la presse people internationale et qui de fait occulte un phénomène bien plus grave et graveuleux au cœur de cette monarchie. Bien plus grave qu’un simple coup de tête.
Le Prince Andrew est accusé de crimes pédophiles au cœur du réseau Epstein. Et pour cela à été démis de ses fonctions et de ses loyaux services auprès de la Cour d’Angleterre.
Un scandale de mœurs, plus qu’un scandale : un crime.
Et que retient l’opinion britannique ? Non pas le crime mais feuilleton de série B. Non pas les victimes d’un pedocriminel mais un coup de sang d’amour gloire et beauté britannique. Non pas le procès en cours et la gravité des actes reprochés au prince Andrew, fils de la Reine, mais l’amourette du Prince Harry.
Cela en dit long sur l’état de décrépitude de la monarchie britannique. Cela montre qu’elle n’a aucune morale et préfère vendre du papier glacé à rendre justice pour des crimes indignes d’une monarchie représentative d’État.
Histoire de mœurs à l’anglaise.
Cordialement,