Trump, un juge en marche
Par décret officiel, le président Trump va créer un poste au cœur même de son administration destiné à mettre fin au traffic d’êtres humains.
Ce qui signifie clairement qu’au sein des États-Unis ce phénomène existe bel et bien.
Aussi il faut le courage d’un président comme Trump pour oser braver les puissances financières qui l’entretiennent, pour l’achever.
Même si l’on ignore encore le nom de la personne en charge de ce mandat, comme l’enveloppe qui lui sera alloué, c’est un pas de géant contre les crimes commis au sein même des grandes organisations comme l’a révélé le scandale Epstein et la Q Force.
On peut d’ores et déjà associer ce mandat à une cellule de crise face a la gangrène laminant les coulisses du pouvoir : l’envers de la prospérité américaine. La communication autour des grands procès a venir nécessite en effet la mise en place d’un chargé de communication doublé d’une cellule qui coordonne les forces de police contre le traffic d’êtres humains.
Depuis quatre ans, on estime à plus de 30 000 personnes emprisonnées liées au traffic d’êtres humains dont 13 000 à Guantanamo.
http://clearlook.unblog.fr/2019/06/12/la-justice-de-trump/
La création d’un tel poste montre l’ampleur des événements à venir : comment gérer l’impact médiatique du règlement des scandales impliquant des personnalités de premier plan.
Le nombre de procès va être spectaculaire : on parle d’arrestations et d’inculpations de milliers de personnes jusqu’au sommet de l’appareil d’état américain.
Sortez votre pop corn, l’année 2020 va être prometteuse.
Cordialement,
https://apnews.com/53eec8e296928c5a9b65de41a42ad110