
Goutte Q n° 4100 Sortons le peuple de ses fers.
Q partage la citation de l’ancien président Thomas Jefferson.
Je me permet d’apporter un complément :
Quand la peur change de camp, c’est un gage de démocratie.
La peur est l’ennemi du peuple, car sous son emprise, il obéit aveuglément, se soumet docilement, et n’existe plus, si ce n’est pour être esclave de lui-même.
C’est le point zéro de l’aliénation.
Plus de clairvoyance, plus de lucidité juste la servilité a des forces supérieures qui détruisent toute indépendance d’esprit.
Rappelons la citation de Rousseau, chantre de la démocratie moderne dans le Contrat social : l’obéissance à la loi que l’on s’est prescrite est liberté.
Sortons le peuple de l’aveuglement : il est acteur de sa liberté !
Cordialement,