
Un Patriote pas comme les autres.
En dépit tous les échos médiatiques inféodés au Deep State et de leurs fakes news, Trump se révèle être un homme de paix.
Nul besoin d’une guerre pour être populaire.
Bien souvent en géopolitique, une opération militaire extérieure reflète une stratégie politique intérieure, des manigances financières et la main mise sur des matières premières.
Pendant des décennies, du Vietnam jusqu’à la Syrie, les présidents américains ont tiré profits des conflits armés.
Contrairement à Georges Bush et sa guerre contre la terreur qui lui avait donné 90% de taux d’approbation, Trump n’a pas besoin d’un nouvel 11 septembre pour être populaire.
Ses rallyes, ses records historiques, ses mesures économiques parlent d’eux-mêmes.
Un président qui fût menacé par une tentative d’impeachment, par des opérations fallacieuses de collusion fabriqués de toute pièce par le camp adverse, aurait pu être déstabilisé, et pour dissiper les doutes et assoir son autorité il lui aurait été facile de créer un conflit armé. Les occasions ne manquaient pas. Souvenez-vous l’année dernière : l’Iran, la Corée du Nord. Mais une escalade militaire aurait fait le jeu du Deep State.
Rappelez-vous de George W. Bush qui engagea les Etats-Unis au Moyen-Orient à la suite des attentats du 11 septembre 2001, tout comme son père George H.W. Bush qui décida de soutenir le Koweït lors de la première guerre du Golfe, dix ans plus tôt. Ou encore Lyndon B. Johnson en 1964 avec le Vietnam et Barack Obama, en Libye en 2011, en 2014 pour combattre Daesh.
La guerre est une mesure qui accroît la popularité d’un président, qui accentue l’esprit nationaliste. Pas toujours, mais souvent.
C’est de plus un fait, soulevé par Jean-Eric Branaa interviewé sur BFM Buisness, il démontre que les conflits profitent davantage à la droite américaine, les Républicains, qu’à la gauche, les Démocrates.
Mais Trump n’a pas besoin de rentrer dans ce jeu là. Il n’a pas besoin d’appeler au patriotisme guerrier et destructeur. Trump appelle à un patriotisme digital, à l’éveil des peuples.
Conscient que l’ennemi n’est pas les peuples, victimes de l’emprise perverse de leurs dirigeants, il n’a pas besoin d’une stratégie machiavélique pour accroître sa popularité.
Le tir de canon de Trump touche sa cible : la paix des peuples.
http://clearlook.unblog.fr/2019/09/25/le-patriotisme-est-un-humanisme/
http://clearlook.unblog.fr/2020/01/08/trump-est-q/
Cordialement,