Julian Assange, saint Bernard sous protection
Il y a déjà trois ans, Trump à obtenu que tout soit remis à la Q Force. En effet, WikiLeaks est passé sous le contrôle de la Q Force. Assange ayant tenu sa parole (en échange de son sauvetage), il sera gracié.
L’historien et journaliste d’investigation Mark Feldstein, à la demande des avocats d’Assange, en sa qualité de témoin expert, évalue l’affaire donnant son point de vue journalistique afin d’établir si Julian Assange à droit à la protection de la liberté d’expression et de la presse en vertu du premier amendement de la Constitution américaine.
Son rapport témoin :
https://www.legrandsoir.info/etats-unis-vs-julian-paul-assange-declaration-du-temoin-mark-feldstein.html
En réalité, qui suit les gouttes de Q sait que le président Trump protège Assange à qui il a annoncé son soutient après avoir désavoué les analystes des services du renseignement américain (DHS, DNI, CIA, etc.) dans l’affaire de la fausse interférence russe dans la présidentielle américaine.
L’extradition et la mise en arrestation aux USA n’est qu’une opération visant à le protéger.
Hélas, certains ne le comprennent pas ainsi et se trompent en critiquant Trump. Ils oublient qu’Assange n’a jamais été la cible de Trump qui se bat contre le Deep State (‘État profond’).
La demande d’arrestation américaine à pour objectif de le sauver. En effet, en obtenant qu’il soit livré aux USA, il serait légèrement condamné puis il sera immédiatement gracié par Trump.
Alors que si Assange est livré aux suédois, le Deep State fera tout pour l’assassiner dans ses prisons suédoises.
En attendant, à l’image de ces français et françaises, lors de la manifestation du 12 septembre 2020, prions pour qu’il soit un jour gracié.
Cordialement,
