Jeux de massacre
« Rien ne me troublera » déclare Emmanuel Macron, lors de son déplacement à Madrid en 2018. Par ces mots, il clôt l’affaire Benalla qui avait fait la une des journaux.
En effet, à ce moment-là, Macron, bras droit d’Obama et du Pindar Rothschild pour la France, n’a aucune raison d’être inquiet.
Il peut se permettre de regarder toute cette affaire de très haut.
Il sait bien qu’avant sa présidence, les présidents ont tous eu leur homme de main : Mitterrand a eu Grossouvre, Chirac a eu Roussin, Sarkozy a eu Lavrilleux, Hollande a eu Lamdaoui et enfin Macron a eu Benalla, de son nom complet Ali, Marouane, Alexandre Benalla, grand ami du roi du Maroc.
De plus, quoi de plus classique pour un président qu’une affaire d’État ? Avant lui, tout les présidents ont eu leurs divers affaires d’État. Pompidou et l’affaire Marcovich, Giscard et les diamants de Bokassa, Mitterrand et l’affaire Pelat, Chirac et l’affaire des emplois fictifs, Sarkozy et l’affaire Bettencourt, Hollande et ses sans-dents.
Et ce même en pleine crise des Gilets jaunes, l’ouragan Benalla, intervenue à l’été 2018, n’avait pas vraiment de quoi le déstabiliser. Tous ses secrets de mœurs étaient bien gardés. Les médias tenus au silence.
Pas de quoi vraiment alerter l’opinion publique.
Benalla, cet officier, homme de main et chef de la milice privé de Macron, recruté par Castaner, lui-même issu de la pègre mafieuse marseillaise aux mains de la mafia russe, fût chargé de la sécurité du Premier ministre, Edouard Philippe.
Son nom, marqué du sang d’innocents, n’est que le prélude à un scandale encore plus grand. Et ça sieur Macron 1er le sait.
Comme le titrera Mediapart, ce n’est que la partie émergée de l’affaire, une affaire d’État.
Ses contacts, ses contrats avec des oligarques russes (on se rappelle que Vincent Crase était en lien avec Iskander Makhmudov, parrain de la mafia russe), seront rapidement étouffés.
La commission sénatoriale en charge de l’enquête n’y pourra rien, face aux habiles manœuvres des avocats de Benalla appuyés par la ministre de la Justice.
Macron n’aura rien à craindre. Il se sait protégé.
D’autant plus qu’il ne fait qu’appliquer l’agenda de ses maîtres avec la complicité des Gracques, hauts fonctionnaires qui constituent l’ossature de l’administration française. La presse Illuminati le soutient et les grands patrons également qu’il s’agisse de Pierre Pringuet (Pernod Ricard), Stephane Richard (Orange), Francois Villeroy de Galhau (BNP Paribas), et tant d’autres. Tous ne jurent que par lui.
Macron peut ainsi continuer ses réformes de la France avec la bénédiction des zadistes de l’État profond.
http://clearlook.unblog.fr/2019/03/29/le-deep-state-francais/
http://clearlook.unblog.fr/2020/09/15/la-statocratie-francaise/
Au même moment, au cœur de la première vague des Gilets jaunes, éclate l’affaire Anticor.
Dépôt de plainte pour prise illégale d’intérêts contre Alexis Kohler, le secrétaire général de l’Élysée, mis en place par Macron pour réorganiser l’Élysée afin d’éviter d’éventuels « dysfonctionnements internes » (Affaire Benalla, Macron veut mette la haute fonction au pas, François-Xavier Bourmaud).
En effet, alors qu’il siégeait au conseil de surveillance d’Epic aux côtés de l’ancien maire du Havre, Edouard Philippe, Alexis Kohler favorisa au travers de plusieurs contrats l’exploitation d’un terminal du Grand Port maritime du Havre.
Bien évidemment, mafia et conflits d’intérêts obligeant, l’enquête pour prise illégale d’intérêts sera par la suite classée sans suite en août 2019.
Encore et en parallèle de cela, afin d’apaiser l’ire populaire contre la révolution copernicienne imposée par Macron, les bureaucrates lachent du lest. Distribution de pouvoir d’achat et diminution d’impôts, une méthode qui fit ses preuves multes fois pour acheter la paix sociale. Annoncés par le président, détaillés par le Premier ministre, mais surtout autorisés par Bercy. Rapidement alors, les meneurs du mouvement sont désavoués, les revendications disqualifiées, les récupérations politiques et idéologiques avortées. Au fil des semaines, le mouvement s’étiole, les actes sont ringardisés, la colère populaire est détournée. Le populisme est ringardisé. Benalla est oublié.
Les français apprendront vite, qu’il n’y a pas d’alternative à Macron, du moins pas dans l’immédiat. Nos très chers institutions et notre très occulte Noblesse d’État ne permettrait pas de démettre le président dans l’exercice de ses fonctions. D’autant plus que, chose oubliée des français, sous François Hollande et avec la complicité de Macron, lors d’une réforme constitutionnelle qui était somme toute qu’un toilettage poussiéreux de quelques articles de la Constitution, l’article sur l’acte de Haute trahison pour le chef de l’Etat a été supprimé. Cela signifie qu’il n’est plus possible d’accuser un Président de Haute trahison, ni le juger, ce même s’il trahit. Au mieux on peut l’accuser de forfaiture.
Vous comprenez donc que le gouvernement est libre de violer la Constitution, de trahir en toute légalité la loi et d’imposer une atmosphère antidémocratique et anticonstitutionnels avec violations des libertes individuels comme ils le souhaitent et ce contre les intérêts des français.
Il était nécessaire que cet article soit supprimé afin qu’Emmanuel Macron puisse commette ses actes de Haute trahison (la vente de la section d’Alstom fabriquant les turbines qu’on utilise dans les centrales nucléaires ainsi que pour la propulsion de nos sous-marins lance-missiles et de nos sous-marins nucléaires, ce qui est absolument stratégique et essentiel pour la Défense nationale du pays, entres autres).
http://clearlook.unblog.fr/2019/06/07/scandale-detat-lenquete-sur-laffaire-de-la-vente-dalstom/
http://clearlook.unblog.fr/2019/02/05/alstom-et-la-haute-trahison-de-macron/
http://clearlook.unblog.fr/2019/07/30/la-grande-braderie-francaise/
En parallèle de tout cela, Macron, en bon jésuite intrépide, continuera son combat face à la statocratie du Deep State francais (Hauts fonctionnaires de Bercy), du moins en apparence car il n’a aucune réelle volonté de scier la branche sur laquelle il est assis.
Séducteur et beau parleur, il en impressionnera beaucoup lors du grand débat, dont le véritable but était la préparation des législatives. Il adressera une déclaration de guerre à la classe statocratique aux commandes en leur annonçant sa ferme intention de supprimer l’ENA et le système des grands corps.
Très rapidement, les hauts fonctionnaires (socialistes et libéraux) se sentant menacés monteront au créneau. D’un côté Denis Olivennes, de l’autre Frédéric Thiriez, parmi d’autres. Les énarques, les oligarques, les Gracques, toute l’élite de Bercy finira par passer à travers les mailles. Macron s’écrasera face à leur puissance et ne sera finalement pas acteur du changement qu’il avait promis lors de sa course à la présidentielle.
Survient alors en 2020 la crise du Covid-19, illustrant l’impéritie de l’élite française d’État.
Les autorités décident de confiner la population. Chose pratique et décriée à tout vent par les virologues eux-mêmes. Mais l’État n’en a que faire. Leur argument officiel ? Éviter l’embolie des services de réanimation des hôpitaux. Leur raison officieuse ? Toute autre.
Nul n’ignore que la dette abyssale de la France a été accentuée depuis l’élection de Macron, et qu’en grande partie cela est liée à la destruction de l’activité économique. En pleine crise économique, le confinement permet d’attribuer au coronavirus l’augmentation de plus de 4 fois de l’endettement de la France en 24 mois ainsi que l’augmentation de 80% des taxes, impôts et prélèvements obligatoires de l’État sur les citoyens et collectivités, alors que tout celà est dû à 85% à l’incompétence jamais vues avant de ce gouvernement depuis son élection.
Et seulement à 15% à la crise économique actuelle. Le prétexte du coronavirus et du confinement sont le parfait cache-misère qui permet de dissimuler aux yeux du citoyen les raisons de cette dette gigantesque.
D’autre part, le confinement permet de supprimer les droits constitutionnels des français pour interdire les manifestations contre la réforme des retraites et plein d’autres motifs sociaux qu’avaient annoncés les syndicats pour mars-avril en protestation du 49-3. Enfin, il fallait bien un prétexte solide afin d’empêcher les élections qui promettait une forte poussée de la droite et des patriotes au détriment des socialistes de LREM et du PS ainsi que des européistes.
Vous le savez bien aujourd’hui, la crise sanitaire n’est en réalité qu’une crise politique.
http://clearlook.unblog.fr/2020/04/22/une-democratie-confinee/
http://clearlook.unblog.fr/2020/03/21/trier-le-bon-grain-de-livraie/
A l’été 2020, dès le mois de juillet, un tournant à lieu. En effet, en plein déconfinement, Macron perd son influence et son autorité. Castaner, l’homme de Rothschild au niveau national (chargé de l’utilisation des mafias russes comme levier économique) est remercié, Édouard Philippe également. Pour le français averti il s’agit-là d’un véritable coup d’État de velours qui à lieu. La plupart des français l’ignorent, mais Macron à été renversé.
De toute sa argne, il confiera dans l’intime à ses proches, « ces salopards m’ont trahi ». Aujourd’hui, observez-le, Macron se promène en serrant des mains. La réalité est qu’il n’a plus de pouvoir réel.
Au-delà des annonces des médias mensongers sur les chiffres d’une pseudo deuxième vague sanitaire, la chose importante est que le gouvernement a été récemment changé par le Baron français Rothschild au plus haut niveau.
Le nouveau gouvernement (Véran, Castex, Attali, etc. amis intimes de Rothschild, tiens donc…) agira dès lors contre les intérêts de Macron en favorisant les intérêts transmondialistes et en actionnant les leviers de Big Pharma pour la France qui leur rapporte des milliards.
Voyez-là, la guerre secrète à l’œuvre en France, où la mafia russe (branche illuminati d’Occident) et mafia de Rothschild (branche illuminati d’Occident) veulent chacun leur part du gâteau ‘Covid’ tout en combattant les mafias italo-américaines (mafias Illuminati d’Occident) et les triades chinoises (mafia Illuminati d’Orient).
Pendant que les français croient à l’histoire officielle racontée, d’autres plus sceptiques croient que le but est de fermer des hôpitaux et de réduire le personnel hospitalier.
Il faut voir plus loin avec un regard plus acéré.
En réalité, l’objectif principal de la crise ‘Covid’ est le renversement de Trump qui combat le Deep State mondial et la Fraternité Illuminati.
L’objectif du maintien des mesures barrières alors qu’il n’y a plus de crise sanitaire du Covid-19 en France est d’éviter la révolution du peuple français qui couve en souterrain.
Combien de temps encore avant que Macron ne quitte ses fonctions, probablement pour des raisons de santé ? Nul ne le sait, et bien qu’il préférera couler le navire plutôt que de le céder, ses jours sont d’ores et déjà comptés.
Et avant de partir, il se protégera autant qu’il le peut, en éliminant ceux qui connaissent ses secrets. Et c’est là qu’on retrouve Benalla.
Il est un de ceux-là, chef de sa milice personnelle, il connaît ses secrets de mœurs, ses virées au marais.
Récemment, on nous a appris que Benalla était en réanimation à l’hôpital militaire Cochin pour raison de Sras-Cov2. Version officielle.
La réalité est tout autre.
Vous n’êtes pas sans savoir qu’actuellement on classe toutes les urgences en Covid. Dès lors, il s’agit d’un mensonge.
En effet, demandez-vous pourquoi Benalla, un simple civil, est-il allité dans un hôpital militaire ?
Tout simplement, parce que Macron à chercher à l’assassiner.
Cet attentat à échoué, Benalla n’est que blessé.
Benalla a été victime d’un tir par un pistolet électrique d’une micro bille poreuse empoisonnée (arme couramment utilisée depuis 34 ans par la CIA et la DGSE ‘Direction Générale des Services Extérieurs’ pour l’élimination discrète de terroristes).
La bille poreuse contenait une version militaire hyper concentrée de toxine de botulis.
Les médecins de l’hôpital Cochin ont réussi à le sauver de justesse.
Cet attentat a été commandité par Macron qui cherche à l’éliminer pour l’empêcher de témoigner devant une future commision d’enquête du Sénat et devant la Justice. En effet, le Sénat s’apprête à lancer une procédure d’enquête en forfaiture contre le gouvernement avant la fin décembre (c’est encore un secret d’État) et Benalla est un de leurs témoins clefs.
Par ailleurs, Macron essaye d’éloigner de lui les soupçons par des rumeurs grotesques. Une masquarade, une soi-disante demande au professeur Raoult de venir ‘sauver’ Benalla de sa prétendue contamination au ‘Covid-19′. Comme si les équipes médicales de Cochin, qui sont parmis les meilleures de France, n’étaient pas capables de le soigner !
Bref…, on atteint le fond du grotesque et du crime d’État !
Cordialement,