Le Silence des Agneaux
L’appel au calme lancée par le président des États-Unis à l’adresse des casseurs (des Antifa se faisant passer pour des supporters de Trump) qui forçaient l’entrée du Capitole à été censuré sur internet et dans tous les médias.
Car si Obama et sa clique ne l’avaient pas fait, le président pouvait déclencher l’État d’urgence nationale lui donnant les pleins pouvoirs.
Il aurait pu alors faire arrêter tout contrevenant même si ce dernier profite de l’immunité parlementaire sénatoriale.
Censurer le compte du président des États-Unis est un acte terroriste, un acte de haute trahison qui à la même gravité que le prendre en otage.
C’est un acte de guerre contre le Peuple américain selon les lois américaines et la Constitution.
C’est assimilé à un acte terroriste. En effet, les lois américaines imposent que l’auteur d’un acte de censure du président relève des lois antiterroristes plus connues sous le nom de loi PATRIOT.
Cela signifie que l’on peut être mis au secret durant 90 jours et que l’on est jugé par des tribunaux militaires et en aucun cas par des tribunaux civils.
Les tribunaux militaires peuvent appliquer la peine de mort dans tous les États même ceux qui ont aboli la peine de mort dans leur législation. En effet, le code militaire dépend de lois fédérales particulières qui incluent la peine de mort car ces lois fédérales ne concernent que les crimes terroristes, la haute trahison et les crimes contre l’humanité qui ne relèvent pas du droit civil aux États-Unis.
Cordialement,