La chute de Washington
Un peu d’histoire
En 1776, Georges Washington a d’abord gouverné à New-York. Puis, la capitale s’est déplacée pendant une décennie à Philadelphie, avant de s’installer définitivement à Washington en 1790. Ce dernier choix était un compromis entre les Pères fondateurs des États-Unis. Alexander Hamilton voulait une capitale au nord de l’Union alors que Thomas Jefferson, issu du sud, craignait les influences économiques et financières puissantes de la région.
On décida que la capitale n’aurait pas le statut d’État en devenant le “District of Columbia” et n’aurait pas de droit de vote et pas de représentation au Congrès. L’article 1, section 8, clause 17 de la Constitution des États-Unis stipule que « le Congrès aura le pouvoir… d’exercer le droit exclusif de législation, en toute matière, sur tel district (d’une superficie n’excédant pas 10 miles au carré) qui, par cession d’États particuliers et sur acceptation du Congrès, sera devenu le siège du gouvernement des États-Unis ». Ce qui implique que les États ne sauraient transférer le pouvoir à un autre État.
Malheureusement, cette sage précaution des fondateurs fut insuffisante.
En 1871, les États-Unis étaient ruinés par la guerre de sécession (1861-1865). Ils furent obligés d’emprunter d’énormes sommes aux banques américaines qui n’étaient en réalité que des succursales des banques de Londres, en particulier de la banque Rothschild.
Ces banques se firent une joie d’accorder aux États-Unis tous les prêts qu’ils souhaiteraient à une condition qui donnerait à ces banques un droit de contrôle sur l’Union. Cette condition leur garantissant le remboursement avec intérêts des prêts accordés.
Les États-Unis devaient passer du statut de nation à celui de société commerciale anonyme domiciliée dans le “District of Columbia”.
Pour celà les élus américains trahirent en 1871 l’Amérique en modifiant sa constitution : « La constitution pour les États-Unis d’Amérique » devenant « La constitution des États-Unis d’Amérique ».
Ce simple changement d’un mot supprimait le contrôle du pays par ses citoyens en le transférant à l’entité commerciale ‘États-Unis d’Amérique’, contrôlée par les banques londoniennes, c’est-à-dire contrôlée par la couronne britannique et par la famille banquaire Rothschild.
De plus, celà donna les pleins pouvoirs aux sociétés secrètes liées à ces familles financières.
La balance et le glaive
Le 27 avril 1961, le président Kennedy prononça un discours sur ces « sociétés secrètes » (extrait) :
« Le mot même de secret est répugnant dans une société libre et ouverte, et nous sommes en tant que peuple, intrinsèquement et historiquement, opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes ».
Le jour où le président Trump a annoncé sa candidature à la présidence, il déclara « je connais leur programme et ce n’est pas le mien ».
Il prévenait ainsi qu’il était là pour achever la libération de l’humanité entreprise par Kennedy un demi-siècle plus tôt. Il œuvra tout d’abord pour ramener l’Amérique à l’intention originelle de ses Fondateurs.
La réaction des élus du Congrès et du Sénat, ainsi que de la quasi totalité des médias américains et mondiaux, fut la censure des médias sociaux et la diffamation du président et du peuple souverain qui l’avait librement élu. Ils ont affirmé que les patriotes et les électeurs du président Trump étaient dangereux et devaient être placés dans des camps de rééducation. Ils ont affirmé qu’ils devaient être renvoyés de leur emploi, se voir refuser ou retirer leurs diplômes universitaires, être censurés et même emprisonnés pour avoir soutenu le président Trump.
La guerre silencieuse dont le président Kennedy a parlé est en cours et c’est Trump qui la commande.
Les événements de Washington en sont un signe visible même s’il ne s’agit là que d’une infime part des opérations militaires et judiciaires en cours en Amérique et dans le monde.
Quand les aigles attaquent
Dimanche 24 janvier, des soldats ont fait un portrait de groupe au Capitole sur ordre du Pentagone (ils étaient ravis de cet ordre !).
Ils avaient précédemment sécurisé l’extérieur du Capitole pendant que des US Marshals militaires procédaient à des arrestations, pour haute trahison, d’élus du congrès à l’intérieur du bâtiment.
Que signifie la présence de l’armée au Capitole ?
Est-ce une coïncidence ?
Nous savons qu’il est constitutionnellement strictement interdit à l’armée d’entrer dans le périmètre du Capitole sauf ordre express du président des États-Unis ou du chef d’état major des armées (General Chief of Staff) s’il y a vacance de la présidence.
Que peut-on en déduire ?
Il faut savoir que depuis le 19 janvier 2021 à minuit, le décret présidentiel signé par le président Donald Trump le 4 juillet 2020 a pris effet. Ce décret stipule que l’entité commerciale États-Unis d’Amérique cesse d’exister le 19 janvier 2021 à minuit. Ce décret est légal car pour toute création ou suppression d’une entité commerciale ou financière agissant au profit ou au détriment des États de l’Union, le président peut créer ou dissoudre ces entités financières ou commerciales sans en référer au Congrès ou au Sénat.
Les États-Unis d’Amérique n’étant plus depuis 1871 une entité politique mais une entité financière, le président Trump avait tout droit de dissoudre cet entité sans passer par un vote du Congrès.
https://rumble.com/vd6ijl-mdl-report-40-04-juillet-2020-mlania-trump-dclare-la-signature-de-lindpenda.html
https://themarshallreport.wordpress.com/2021/01/24/usa-inc-bankrupt-no-more-irs-wheres-potus/amp/
https://themarshallreport.wordpress.com/2021/01/22/hidden-history-of-the-united-states-of-america-corporations-come-out-of-her-my-people-2/
Le président Donald Trump a donc retourné contre eux cette trahison des élus Illuminati de 1871.
Etant donné que, légalement et constitutionnellement, il n’y a plus de président des États-Unis, ni d’entité appelé ‘États-Unis d’Amérique’, la Constitution et les lois américaines imposent que l’armée américaine prenne le contrôle de l’État jusqu’à l’élection d’un nouveau président et de nouvelles assemblées (Congrès et Sénat).
La dernière élection ayant été frauduleuse, l’armée est aussi obligée de par la Constitution d’assumer l’arrestation et le jugement des élus qui ont commis cette fraude afin d’établir juridiquement la preuve du véritable nombre de voix qu’ont obtenu chacun des candidats. En vertu de l’article 11 alinea 3 (11.3) du code militaire, l’armée a le devoir de démanteler le faux gouvernement et de rétablir un nouveau gouvernement légal (Q # 26 : lorsque 11.3 a été confirmé comme le 1er marqueur).
https://qalerts.app/
Biden a lui-même déclenché ce processus constitutionnel en commettant un coup d’État par sa prestation de serment totalement illégale.
Si l’armée n’intervenait pas elle se rendrait coupable de haute trahison.
Une fois ce processus juridique accompli par les magistrats militaires comme l’impose la Constitution, le vainqueur et les deux assemblées légitimement élues avec le vainqueur reprendront le pouvoir et gouverneront l’Amérique (les États de l’Union).
A l’aube du premier jour
Alors seulement, ces deux assemblées choisiront librement et démocratiquement la nouvelle forme politique et constitutionnelle que prendront les États d’Amérique.
Ils valideront aussi très probablement la nouvelle capitale des États d’Amérique, les States Of America ou SOA.
Par un Ordre Exécutif du président Trump, signé le 4 juillet 2020, la nouvelle Capitale des ‘States Of America’ est la ville de Houston dans l’État du Texas depuis le 20 janvier 2021 à zero dark zero CST (0h du matin Central Standard Time).
« La foi est la confiance dans ce que nous espérons et l’espérance dans ce que nous ne voyons pas » (Hébreux 11, 1)
Cordialement,
Compléments :
http://clearlook.unblog.fr/2021/01/23/ne-un-4-juillet/
http://clearlook.unblog.fr/2021/01/22/la-promesse-de-laube/