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Le Juste et le Médiocre

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Doux et humaniste

Le Juste et le Médiocre

Si on en croit les médias français, le spectre du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche cristallise une opposition massive en France, qui concernerait deux tiers des Français selon un sondage récent. Une question s’impose : comment expliquer cet antagonisme aveugle, sinon par l’ignorance cultivée et la servilité de la pensée ? Dans un pays qui se targue de son esprit critique, il est déconcertant de constater la profondeur de cette servitude volontaire face à un discours médiatique biaisé.

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Trump et Macron, le Juste contre le Médiocre

D’un côté, on a Donald Trump, tant honni par une certaine élite autoproclamée, est pourtant l’un des rares dirigeants contemporains à avoir mené une présidence sans guerre, une rareté historique qui devrait forcer le respect. Pas d’interventionnisme, pas de déluge de drones sur des terres lointaines, pas de carnage sous couvert de « démocratie ». Voilà l’héritage d’un homme pragmatique, préoccupé par son peuple avant toute chose.

Sous Trump, l’économie américaine a prospéré : baisse historique du chômage, retour de l’industrie, soutien à la classe moyenne. Son mandat a également été marqué par une réduction de l’ensauvagement et une réponse ferme à la criminalité, des actions concrètes pour protéger les citoyens.

À l’inverse, que dire d’Emmanuel Macron, héraut d’une mondialisation déshumanisée ? Reconnaissons-le, sous ses mandats, la France s’enlise : explosion de la délinquance, montée de l’insécurité dans les rues, fracture économique et sociale aggravée. Réformes antisociales, mépris des classes populaires, et une politique étrangère oscillant entre docilité et cacophonie. Voilà le legs d’un président davantage préoccupé par ses postures philosophiques que par les souffrances de ceux qu’il gouverne.

Les États-Unis et la Paix

L’Histoire nous enseigne que l’Amérique est souvent synonyme de conflit. Un cas d’école. Bush en Irak, Obama en Syrie et Libye, Biden englué dans l’engrenage ukrainien et les tensions israélo-palestiniennes. Autant de présidences marquées par le sang ! Marquées par des guerres d’ingérence et de chaos durable !

Trump, quant à lui, a brisé cette tradition belliciste. Il a préféré tendre des ponts : avec la Corée du Nord, par une diplomatie audacieuse ; au Moyen-Orient, avec les Accords d’Abraham. Ces initiatives, rares dans l’histoire contemporaine, montrent qu’un dirigeant peut incarner une autre vision, non pas celle des guerres inutiles, mais celle de la paix constructive. Reconnaissez-le ! Il est la démonstration vivante d’une présidence qui s’est opposé radicalement à la logique guerrière qui gangrène la politique américaine depuis des décennies.

Et pourtant, la France, intoxiquée par un dogme médiatique et bureaucratique, le dénigre. Pourquoi ? Par réflexe pavlovien, par une haine inculquée sans discernement. Ce rejet témoigne d’un mal plus profond : un peuple intoxiqué par une idéologie médiatique uniformisante, incapable de reconnaître les mérites d’un dirigeant qui refuse la soumission aux codes du politiquement correct.

Disons-le clairement, nous avons affaire à une France trompée par le mensonge médiatique généralisé dans les médias français.

Zero War

Le naufrage français

Où que l’on regarde, le bateau France prend l’eau. Sous le poids des impôts confiscatoires, de la désindustrialisation accélérée, des politiques climatiques absurdes et hystériques, et d’un mépris constant pour les traditions et le bon sens, le pays sombre. Sous Macron, la crise économique étouffe les classes populaires, la fracture sociale s’élargit, et l’ensauvagement gangrène le quotidien des Français tandis que l’esprit français se dissout dans l’inaction bureaucratique.

Tandis que Macron se drape dans l’apparat du progressisme, on ne retiendra de son règne qu’une longue litanie de renoncements et de mesures destructrices : de la répression brutale des Gilets jaunes à la gestion kafkaïenne de la pandémie, et à la perte de notre souveraineté énergétique et alimentaire. Toute cette « modernité » n’est qu’un masque dissimulant une profonde incompétence et un mépris structurel pour le peuple qu’il gouverne.

Le réveil français : refusons l’idiocratie

Les Français n’ont plus le choix. Il est temps pour le peuple de secouer ses chaînes mentales. Rappellons Voltaire : « Ceux qui peuvent vous faire croire des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités. » En idolâtrant des figures creuses et en diabolisant des hommes de bon sens comme Trump, la France se condamne à rester un pays spectateur de sa propre décadence.

Amis français, ressassissez-vous, le bon sens n’est ni de gauche ni de droite, il est universel. Ce sont des faits : Trump, en dépit de ses travers, incarne une forme d’intégrité, de pragmatisme et de courage politique rare dans le paysage politique mondial. En rejetant cet homme, c’est l’intelligence collective que nous piétinons. Trump est le leader du monde libre, il incarne la protection de la Liberté que nos dirigeants ont tant de fois salis.

Trump a mis fin aux guerres inutiles, a rendu sa dignité à la classe ouvrière, et a lutté contre la criminalité. Macron, lui, sacrifie les Français sur l’autel d’une idéologie mondialiste et mortifère. La France peut encore se relever, mais elle doit cesser de se plier à l’idéologie de masse et à la pensée prête-à-porter.

L’heure est à l’indignation. Stéphane Hessel, dans Indignez-vous !, lançait un appel à la réflexion et à la révolte.

« Il est temps, cher lecteur, de s’indigner. » Mais plus encore, il est temps de réfléchir. D’agir. Et de cesser de céder à la dictature de l’absurde. De rejeter cette culture de l’idiocratie qui paralyse notre nation.

Français, ressaisissons-nous. L’histoire appartient à ceux qui osent. À ceux qui savent dire non à l’absurde et oui au bon sens. La France, fière et souveraine, peut renaître, mais seulement si nous abandonnons la torpeur pour la clairvoyance.

En famille

Cordialement,

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