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Le triangle de fer : prophétie géopolitique face à l’ensauvagement de la France

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France Navire

Le triangle de fer : prophétie géopolitique face à l’ensauvagement de la France

C’est un secret de polichinelle : depuis plusieurs années, la France est confrontée à une montée spectaculaire de l’ensauvagement et de la criminalité, nourrie par un narcotrafic tentaculaire et une immigration clandestine difficilement contrôlable.

Nous annonçons ici que lorsque la « Dame de Fer » prophétique de la politique française, Marine Le Pen, sera à l’Élysée, elle projettera une révolution géopolitique : le rétablissement des frontières nationales par la sortie de l’espace Schengen, ainsi que la formation d’un « triangle de fer » réunissant la France, l’Italie et l’Espagne. Ces trois nations, frappées par une violence inégalée et une explosion des trafics, doivent selon notre compréhension reprendre le contrôle de leur souveraineté.

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La France, un « navire en pleine tempête »

La criminalité en France atteint des niveaux alarmants. Le trafic de stupéfiants génère une économie parallèle estimée entre 3,5 et 6 milliards d’euros par an. Un rapport du Sénat de mai 2024 révèle que 90 % des règlements de comptes sont directement liés à ce fléau. Les villes comme Marseille ou Paris deviennent les épicentres où la guerre des gangs se joue à ciel ouvert.

Le narcotrafic est ainsi le moteur caché de la gigantesque machine criminelle de France. Derrière chaque règlement de comptes se cache une guerre pour le contrôle des territoires, des points de deal et des circuits d’approvisionnement.

Le général Hubert Bonneau, directeur général de la gendarmerie nationale, dans sa stratégie, a bien compris l’importance de s’attaquer à cette racine du mal. Sa volonté de créer une Unité nationale de police judiciaire spécialisée dans ce domaine reflète une prise de conscience salutaire, mais peut-être tardive, de l’ampleur du problème. L’impact de cette économie parallèle dépasse largement les zones de non-droit. Elle gangrène les institutions, affaiblit le tissu social et renforce le sentiment d’insécurité parmi les citoyens. Les territoires ultramarins, souvent cités comme points de transit majeurs du narcotrafic, subissent de plein fouet cette violence importée.

La situation actuelle est comparable à un navire pris dans une tempête. Les vents violents qui menacent de faire chavirer le pays sont les défis géopolitiques, comme les incertitudes internationales et la montée des tensions transatlantiques. Les vagues déchaînées, quant à elles, symbolisent le narcotrafic, fléau qui alimente près de 90 % des conflits armés locaux liés aux règlements de comptes. Si le navire ne renforce pas sa coque, en allouant des ressources adaptées à la lutte contre le trafic de drogue et en anticipant les menaces, il risque de sombrer.

Malgré des mesures répétées, des plans de lutte contre le trafic de stupéfiants, et des saisies spectaculaires annoncées chaque année, la France peine à enrayer ce phénomène. Certains observateurs n’hésitent plus à qualifier la France de « narco-république ». En devenir ? Le terme, volontairement provocateur, reflète la réalité d’un pays où les trafiquants agissent avec une impunité relative, où les règlements de comptes se multiplient, et où l’économie parallèle menace de supplanter l’économie légale dans certaines zones. Le navire peut encore être sauvé, mais il faudra des efforts colossaux pour traverser la tempête.

Au niveau européen, les données confirment notre réalité. Selon Eurostat, les infractions liées au trafic de stupéfiants ont augmenté de 25 % entre 2019 et 2023 dans les États membres. La cocaïne reste la substance la plus saisie, avec un record de 27,7 tonnes interceptées en France en 2022.

Le rôle aggravant de l’immigration clandestine

En parallèle, la pression migratoire intensifie les défis sécuritaires. L’immigration clandestine, souvent associée au travail illégal et à la précarité, devient un terreau fertile pour les trafiquants de drogue. Des rapports d’Europol indiquent que les réseaux criminels exploitent les migrants pour acheminer et distribuer les stupéfiants en Europe. La France, à la croisée des routes migratoires et commerciales, se retrouve dans une position critique.

Les chiffres corroborent cette analyse : 45 % des détenus en France sont de nationalité étrangère, un pourcentage qui grimpe à 60 % dans les grandes agglomérations, selon le ministère de la Justice (donnée 2024). Cette corrélation alimente le débat sur le lien entre immigration clandestine et criminalité.

triangle de fer

Le triangle de fer : France, Italie, Espagne

Face à ce constat, Marine Le Pen, surnommée ici « la Dame de Fer », annonce un projet de rupture. Elle proposera non seulement de quitter Schengen, mais aussi de forger une alliance stratégique avec l’Italie et l’Espagne, deux pays également submergés par une hausse de la violence et des narcotrafics.

L’Italie, en particulier, fait face à une recrudescence des activités mafieuses. Les clans napolitains de la Camorra et la ‘Ndrangheta calabraise dominent une grande partie du marché européen de la cocaïne. En Espagne, les ports d’Algésiras et de Valence sont devenus des hubs majeurs pour les drogues en provenance d’Amérique latine. Ces nations, tout comme la France, sont à la fois des plaques tournantes et des victimes du narcotrafic.

En formant ce triangle de fer, ces pays viseraient à :

- Rétablir leurs frontières nationales pour stopper les flux migratoires incontrôlés.
- Coordonner leurs forces de sécurité contre les réseaux criminels transnationaux.
- Rompre avec les politiques de Schengen, amplificatrices des crises actuelles.

Un futur prophétique : les chiffres parleront d’eux-mêmes

Les données prédisent des tendances divergentes pour les pays qui choisiront de sortir de Schengen et ceux qui resteront dans cet espace de libre circulation. Les premiers, en renforçant leurs frontières, pourraient enregistrer une diminution significative de la criminalité et de l’immigration clandestine. En revanche, les États membres de Schengen continueront probablement de faire face à une augmentation de ces phénomènes, exacerbée par l’absence de contrôle aux frontières internes.

Un exemple éloquent est la Hongrie, qui a renforcé ses frontières dès 2015. Entre 2016 et 2022, ce pays a vu une baisse de 30 % des entrées illégales et une chute des infractions liées au narcotrafic. À l’inverse, des pays comme l’Allemagne ou les Pays-Bas, grands défenseurs de Schengen, subissent une hausse continue des crimes liés à l’immigration clandestine et au trafic de drogue.

La démonstration parle d’elle-même.

En conclusion

La France est à la croisée des chemins. La vision de Marine Le Pen pour une France souveraine et sécurisée s’articule autour d’un projet radical mais nécessaire. En créant un triangle de fer avec l’Italie et l’Espagne, la France pourrait amorcer une ère de stabilité et d’autorité retrouvée. Cette prophétie politique repose sur un constat clair : le narcotrafic, la criminalitée organisée et l’immigration clandestine ne sont pas des fatalités, mais des défis que seule une gouvernance forte et unie peut relever. Face à l’ensauvagement et à l’explosion des trafics, la « Dame de Fer » proposera, à l’instar de son homologue américain Donald Trump, une solution qui pourrait non seulement changer le destin de la France, mais aussi influencer l’avenir de l’Europe. Le choix est désormais entre le maintien du statu quo et une révolution sécuritaire inscrite dans l’histoire.

Cordialement,

Sources

Christian de Rocquigny, de l’Office antistupéfiants : « Les trafiquants de drogue, avant tout, distribuent la mort », Le Monde, 1er novembre 2024.

Rapport du Sénat, mai 2024, sur le narcotrafic en France.

Actu17, Hubert Bonneau, le patron de la gendarmerie craint un « conflit armé » en France

Eurostat : Vue d’ensemble des infractions liées au trafic de stupéfiants en Europe, 2019-2023.

Ministère de la Justice, France, statistiques sur la population carcérale (2024).

Europol : rapports sur l’exploitation des migrants par les réseaux criminels (2023).

Public Sénat : « L’essentiel du programme de Marine Le Pen ».

Le Monde : « Les trafiquants de drogue, distributeurs de mort », 1er novembre 2024.

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