
Et ils rebâtiront les ruines anciennes
L’intervention de Trump et le grand rééquilibrage à Gaza
L’annonce fracassante de Donald Trump sur la supervision américaine de Gaza a fait l’effet d’un séisme politique et militaire. Contrairement aux premières interprétations, il ne s’agit pas d’une occupation militaire directe, mais d’un repositionnement stratégique visant à imposer une solution régionale sous contrôle américain. Pour les stratèges et analystes géopolitiques, ce plan ne relève pas d’une simple déclaration, mais d’une réorganisation fondamentale des rapports de force au Moyen-Orient.
Il ne s’agit pas seulement d’une reconstruction, mais d’un repositionnement stratégique où l’Amérique s’impose comme garant de la stabilité, là où l’État profond et ses sbires prospéraient sur le chaos.
Trump propose un coup d’arrêt à la machine de guerre qui alimente ce conflit depuis des décennies. Cette décision, qui s’accompagne du retrait d’Israël du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, redistribue les cartes du pouvoir et pourrait bien marquer la fin d’un cycle de violence perpétuelle.
Sur le plan militaire, ce plan signifie plusieurs choses. D’abord, il prive Netanyahou et l’armée israélienne de la possibilité de poursuivre les bombardements sous prétexte de sécurité nationale. En mettant Gaza sous supervision internationale coordonnée par les États-Unis, Israël devra revoir sa stratégie. C’est un énorme pied de nez à la doctrine du « mur de fer » et aux cycles de destruction et de reconstruction qui profitent aux marchands d’armes et aux institutions corrompues.
Ensuite, cette supervision signifie que le Hamas, qui jusqu’ici contrôlait Gaza, est sur le point d’être éradiqué. Le message est clair : fin des bases terroristes, fin des prétextes à la guerre. Trump veut mettre un terme à ce business de la guerre permanente qui sert les intérêts de l’État profond, ces élites qui alimentent les conflits pour justifier des milliards d’aides détournées.
Le plan de Trump repose sur une logique militaire implacable : assécher les flux d’armes, démanteler les poches de résistance et imposer une alternative économique crédible. Dans cette vision, Gaza ne serait plus une zone de guerre, mais une plateforme de stabilité régionale.
Ce plan rappelle les prophéties bibliques où des terres ravagées sont restaurées et où les anciens oppresseurs sont défaits.
Dans Ésaïe 61:4, il est écrit : « Ils rebâtiront les ruines antiques, ils relèveront les décombres du passé, ils renouvelleront les villes ravagées, dévastées depuis des générations. »
Trump semble suivre un destin écrit d’avance, une mission où il doit redonner à cette terre un avenir que des forces occultes voulaient empêcher. La destruction actuelle de Gaza n’est ainsi que la première étape d’un renouveau historique.
La Q Force, cette puissance qui agit dans l’ombre contre les élites mondialistes, semble être à l’œuvre. Son objectif ? Restaurer un équilibre géopolitique, contrer les manœuvres des élites mondialistes et créer un futur où la paix ne serait plus une utopie contrôlée par des intérêts cachés.
Le Hamas disparu, où iront les Palestiniens ?
C’est l’une des questions majeures. Quel sera le sort des Palestiniens ?
L’administration Trump a suggéré une relocalisation temporaire vers des pays voisins comme l’Égypte et la Jordanie, pendant la reconstruction de Gaza. Mais ces pays refusent catégoriquement, craignant un précédent dangereux.
En réalité, cette proposition fait partie d’une tactique de négociation. En poussant les acteurs régionaux à s’impliquer, Trump force une refonte des accords de paix. Chasser le Hamas et offrir aux Palestiniens une alternative crédible pourrait enclencher une dynamique où la paix devient non seulement possible, mais inévitable.
Le sénateur Marco Rubio a salué cette initiative en la qualifiant de « généreuse ». Mais il s’agit de bien plus que cela : c’est une négociation à grande échelle, où Trump impose son propre tempo à la région.
Vers un accord de paix dans les 36 mois
Depuis des décennies, les experts affirment qu’un accord israélo-palestinien est impossible. Mais Trump, en stratège, sait que l’histoire ne se fait pas par la passivité, mais par l’audace.
Désormais, l’équation a changé :
Si les États-Unis supervisent Gaza, si le Hamas est neutralisé, si Israël ne peut plus jouer la carte de la guerre perpétuelle…
… alors, le terrain pour un accord de paix se dessine et devient une réalité.
Je persiste sur ce blog à prédire qu’un tel accord israélo-palestinien verra le jour dans les 36 prochains mois.
Les puissances de l’ombre reculeront, le Moyen-Orient sera stabilisé, et la prophétie de Zacharie 9:10 se réalisera : « Je briserai l’arc de guerre, je proclamerai la paix aux nations, et ma domination s’étendra d’une mer à l’autre. »
La spore se dissémine sur Gaza.
Le tigre américain rugit.
Le lièvre palestinien s’élève.
L’histoire s’écrit sous nos yeux.
Cordialement,